Les amendements de Aurore Bergé pour ce dossier

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Le programme de stabilité n'est pas un exercice de communication, mais un acte politique. Il incarne une vision claire des objectifs que nous avons présentés aux Français et qu'ils ont validés : ni dette, ni impôts supplémentaires, ni renchérissement du coût du travail. Il traduit notre vision d'une société qui doit rendre possible le plein emp...

Eh non, le « quoi qu'il en coûte » n'a jamais été le « n'importe quoi qu'il en coûte ». Notre société, c'est celle qui veut et rend possible le plein emploi, qui sera atteint grâce aux réformes structurelles que nous avons engagées sous le précédent quinquennat et que nous poursuivons.

Cet objectif est désormais à notre portée ; il sortira enfin notre pays du chômage de masse qui l'a caractérisé depuis trop longtemps. Ma génération n'a cessé d'entendre commenter les chiffres du chômage. Aujourd'hui, ce sont les résultats en matière d'emploi, de réindustrialisation ou d'apprentissage qui le sont. Soyons-en fiers et soyons ambi...

Viser le plein emploi, c'est aussi permettre à nos concitoyens de travailler plus et d'être mieux rémunérés. Nous avons déjà commencé à agir : nous avons voté l'augmentation du plafond des heures supplémentaires défiscalisées ; nous avons voté la possibilité de monétiser les jours de RTT. Là encore, sans toucher au coût du travail, nous offrons...

Nous engageons une politique toujours plus volontariste de redistribution au sein de l'entreprise, par exemple en triplant le plafond de la prime Macron ou en instaurant une politique relative à l'intéressement.

Si, cette politique augmente le pouvoir d'achat, car elle accroît les revenus inscrits sur la feuille de paie des salariés français à la fin du mois. Tel est notre objectif.

Mieux rémunérer le travail, c'est aussi adapter notre système d'assurance chômage. La réforme qui sera présentée à la rentrée le permettra. En cette période de pénurie de main-d'œuvre, le fait d'inciter encore plus fortement au travail relève de l'intérêt général. Cette réforme repose sur un principe simple, juste et efficace : quand il y a du ...

Elle donne l'impression de vouloir la quitter. Pour elle, l'Europe n'est plus une évidence. Il en est ainsi quand elle veut faire croire que l'on peut se permettre d'ignorer les traités.

Pour nous, l'Europe n'est pas un libre-service. L'Europe, ce n'est pas uniquement quand cela nous arrange. Ce n'est pas comme on veut ou quand on veut. L'Europe constitue un engagement, implique une responsabilité et repose sur la solidarité. Le fait de ne pas respecter les traités revient à dire aux autres États membres qu'ils ne comptent pas ...

Nous, nous assumons de respecter les traités car ce respect engage la signature et le rang de notre pays. C'est aujourd'hui et par l'Europe que nous construisons les protections de demain et les enjeux de souveraineté énergétique qui sont devant nous sauront nous le rappeler. L'Europe ultralibérale, c'est celle du Brexit. C'est celle qui ne veu...

Non, il n'y aura ni gaspillage budgétaire ni austérité. Le programme de stabilité traduit ces principes, notre trajectoire budgétaire témoigne de ces engagements.

Le fait de ne pas augmenter les déficits et de maîtriser notre dette constitue d'abord une protection que nous devons aux Français, eu égard aux engagements que nous avons pris. Personne ne comprendrait que d'un côté, nous améliorions leur situation alors que de l'autre, nous dégradions leur futur : aggraver la dette et le déficit conduirait à ...

Notre stratégie apporte au contraire les résultats attendus par les Français sur l'emploi, sur la protection du pouvoir d'achat, sur la croissance. Elle repousse toutes les démagogies…

…et tous les replis sur soi ; elle croit en la France, en ses compétences, en ses savoir-faire, en ses entreprises, et elle croit résolument en l'Europe. Telle est la stratégie que le groupe Renaissance soutiendra pour les Français.