Les amendements de Clémence Guetté pour ce dossier

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Enfin, votre projet est dangereux car en pleine canicule, alors que le pays brûle, il nous rapproche autant de la fin du mois que de la fin du monde. Mme Borne nous parlait pourtant de l'urgence écologique. Et c'était la semaine dernière ! Votre action a le mérite, cette fois, de la rapidité avec ce projet de loi : vous écrasez le droit de l'en...

Il faut oser un tel projet ! Il faut bien reconnaître que vous avez du culot ! Macron, saison 2 : la majorité est maintenant minoritaire et on nous avait promis un changement de méthode. Notre groupe LFI – NUPES a proposé des solutions : le SMIC à 1 500 euros et le blocage des prix. Ce projet de loi est une arnaque et vous le savez très bien !

Les Français, y compris les salariés, ne se laisseront pas prendre au piège de vos beaux mots, de vos mensonges, de votre double discours façon Ministère de la Vérité. Car la vérité éclate pour eux tous les jours au bas de leur fiche de paie et sur leurs tickets de caisse ! Prenez garde,…

On continue dans la mollesse, puisqu'il s'agit, là encore, d'un amendement de repli. Cette fois-ci, nous voulons évoquer les écarts de salaire. L'an dernier, les grands patrons ont vu leurs salaires doubler.

Pour cela, ils n'ont pas eu besoin de gagner au loto : c'est l'absence totale de régulation en la matière qui le leur a permis. Aujourd'hui, 10 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté, comme l'a rappelé mon collègue Louis Boyard, alors que le patron de TotalEnergies, pour n'en prendre qu'un, empoche tranquillement 380 SMIC tous le...

…apprennent que des salaires aussi mirobolants sont versés et que nous ne faisons rien, collectivement, pour les réguler ! J'imagine que cela vous est – évidemment – aussi inacceptable qu'à nous : il est donc temps d'en finir. L'amendement émane d'ailleurs d'une demande formulée par plusieurs syndicats

– la CGT, la CFDT, FO et l'UNSA : or Mme la Première ministre – cela devrait vous parler – a dit que, désormais, durant cette deuxième législature des macronistes, les syndicats seraient écoutés. Comme le précédent, le présent amendement conditionne donc les exonérations, mais cette fois à l'existence d'un écart salarial maximum de 1 à 20 au se...