Interventions sur "climatique"

12 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Il faut sortir du nucléaire maintenant car, avec le changement climatique, il deviendra de plus en plus intermittent. Les rivières se réchauffent ; leur niveau est bas ; il sera plus difficile de refroidir les centrales nucléaires. Cette énergie est vouée à disparaître, car nous ne serons bientôt plus capables de l'utiliser. Voilà donc le retour des centrales au charbon orchestré par ceux-là mêmes qui le disaient impossible.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulie Laernoes :

Cet article est particulièrement préoccupant, puisqu'il illustre l'échec et l'impréparation de l'État en matière de politique énergétique. Emmanuel Macron s'était pourtant engagé dès 2017 à abandonner les énergies fossiles, en particulier le charbon. Quel recul ! Le présent article contredit totalement les objectifs de la France en matière climatique. L'impact sur l'environnement de la remobilisation des centrales à charbon serait catastrophique : il représenterait 4,5 millions de tonnes de CO2 en plus, soit l'équivalent de 2 millions de véhicules supplémentaires en circulation. Cette relance du charbon illustre également l'échec de la politique du nucléaire. Rappelons les faits : les retards accumulés sur...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandre Loubet :

Ne venez plus jamais nous donner des leçons, vous la NUPES et la Macronie, en matière d'écologie ou de lutte contre le réchauffement climatique.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandre Loubet :

Mais soyez reconnaissants à l'égard de ces salariés ; ne venez plus nous donner de leçons en matière de lutte contre le réchauffement climatique ou d'écologie. Soutenez la filière nucléaire pour que le charbon ne soit pas une solution à terme. Madame la ministre, à Saint-Avold, accélérez, amplifiez, dynamisez les projets en matière d'hydrogène.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Charlotte Garin :

Ce que nous attendons, c'est un sursaut de la part du gouvernement actuel. Ce que nous disons, c'est qu'il faut laisser la majeure partie des énergies fossiles dans le sol, sous peine de voir s'emballer les événements climatiques extrêmes. Dans vingt ans, ce n'est pas une canicule à 40 oC que nous aurons, c'est une canicule à 50 oC ! Ce que nous vivons aujourd'hui, c'est peut-être l'été le plus froid du reste de nos vies. Il faut bien l'avoir en tête.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Charlotte Garin :

... nous parlons tout le temps d'énergie plutôt que de pouvoir d'achat, mais le lien entre le pouvoir d'achat et l'énergie est très clair : le coût des factures de nos concitoyens, des entreprises et des collectivités augmente. Et pourquoi ? Parce que le coût de l'énergie augmente. C'est ce lien-là que nous faisons. Lorsque vous refusez que nous parlions systématiquement du problème du réchauffement climatique, vous refusez de voir que nous avons besoin d'une approche transversale sur le sujet, et si vous refusez de le voir, vous passez à côté de l'enjeu majeur de notre siècle.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Charlotte Garin :

Le président Macron, pendant la crise du covid, nous a dit que l'on pouvait changer la nature même de la mondialisation, que personne n'hésitait à faire des choix profonds et radicaux devant une question de vie ou de mort. La crise climatique, aujourd'hui, est une question de vie ou de mort, mais on connaît la chanson, et l'on a toujours l'impression d'entendre des paroles, des paroles, des paroles.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandra Regol :

C'est probablement une année record, à l'échelle nationale et mondiale, pour les feux et pour les températures. Et pendant ce temps-là, que nous proposez-vous ici ? C'est de remettre en service le plus gros émetteur de gaz à effet de serre et de pollution, la première cause du réchauffement climatique. Comment peut-on, alors que nos pompiers sont en train de risquer leur vie pour sauver nos forêts, proposer de remettre en service le principal vecteur de l'emballement des feux ? C'est inadmissible. Saint-Avold, Cordemais : où est la sobriété que vous seriniez tout à l'heure ? Nulle part. Une sobriété pour laquelle, il n'y a pas si longtemps, vous nous affubliez de sobriquets – nous étions des ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandra Regol :

Pourtant, vous le faites trop tard, si tard que nous sommes obligés, aujourd'hui encore, de revenir à la question climatique pour parler de pouvoir d'achat, parce qu'il n'y aura pas de justice sociale sans justice environnementale :

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Piquemal :

Notre pays a l'odeur de l'essence à cause du prix à la pompe qui augmente et de l'inflation, l'odeur de l'essence pour les camions de pompiers qui sont piégés dans des incendies liés au dérèglement climatique partout en Europe. Tout brûle déjà, et vous, que proposez-vous ? De la Biafine.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançois Piquemal :

On vous parle de renoncer au gaz de schiste ? La Biafine du charbon ! Vous nous emmenez en Uber aux portes de l'enfer du dérèglement climatique. C'est un endroit où votre Biafine ne suffira pas !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélie Trouvé :

Je veux d'ailleurs revenir sur l'affirmation selon laquelle il n'y aurait pas de lien entre le pouvoir d'achat et l'écologie. Elle est évidemment fausse puisque la pollution et le réchauffement climatique représentent un coût de 1 000 euros par Français chaque année,…