Je trouve la question de Mathieu Lefèvre, qui souhaite savoir combien nous aurait coûté la dette si nous n'avions eu, depuis 2008, que des taux fixes, très intéressante. Avec toutes les réserves de rigueur s'agissant d'un calcul sommaire, j'estime ce coût de l'ordre de 200 milliards. Le fait d'avoir 10 à 12 % de nos dettes en taux variable nous a permis d'économiser ce coût sur les intérêts.
Par ailleurs, je perçois une contradiction dans les propos de nos deux éminents membres de la NUPES.