L'expertise de la DGFIP est incontestable, celle des douanes aussi. Leurs métiers n'en sont pas moins distincts.
D'après les informations dont nous disposons, le processus en cours fera perdre de l'argent à l'État. Monsieur le rapporteur général, je vous invite notamment à observer, dans les mois et les années à venir, l'évolution du montant des créances fiscales recouvrées au titre des admissions en non-valeur.