Encore une fois, vous confondez la protection individuelle et la protection collective !
Enfin, Mme la rapporteure répète sans cesse que si nous n'adoptons pas ce texte, nous ne pourrons pas partir en vacances dans l'Union européenne. Je vous rappelle pourtant que la plupart des pays d'Europe n'appliquent aucun contrôle. Vous m'opposerez peut-être qu'il est prévu qu'ils le fassent. Est-ce là un engagement du Président de la République qui, dans un Conseil européen, aurait vendu par avance la loi qu'il voudrait nous voir adopter aujourd'hui ? Mais c'est fini, ce temps-là !
Chers collègues, il est très important que vous montriez aux Français que vous ne comptez pas prendre une nouvelle fois en otage les enfants âgés de 12 à 18 ans.