Le moment est au débat, mais aussi à l'ouverture. Plusieurs groupes souhaitent qu'on cesse d'ostraciser celles et ceux qui ont fait des choix différents, sans doute compliqués et parfois incompris. Il ne s'agit pas de maltraiter les 99 % de soignants ou d'autres professionnels qui ont respecté les règles du jeu, c'est-à-dire la loi, mais de nous éclairer sur le sort de ceux qui ont payé leur choix par une absence de traitement et un statut juridique bancal, voire relevant du non-droit. Nous attendons vos explications avec impatience.