Les amendements de Michel Castellani pour ce dossier

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Une devise – « la relance, la puissance et l'appartenance » – devait guider la France lors des six mois de sa présidence de l'Union européenne. À ce triptyque nous craignions d'ajouter « l'excès de confiance ». La liste des dossiers prioritaires était longue et il était sans doute présomptueux de penser que l'on peut changer l'Europe seul. Le ...

Le Président de la République a préféré courir le risque de prendre la tête de l'Union européenne alors même que des élections se préparaient en France, au risque de voir la présidence française faire les frais de la campagne. Dès lors, tout à fait logiquement, quand bien même des accords techniques ont été trouvés jusqu'au dernier jour de juin...