Les amendements de Nicolas Meizonnet pour ce dossier

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Merci pour le sketch, merci pour le spectacle, merci pour la pièce de théâtre qui nous a été offerte pendant près de cinq heures en commission mixte paritaire pour finaliser un texte visant à accélérer la déconstruction du modèle électrique français. Un scénario cousu de fil blanc où tout était négocié à l'avance entre les macronistes, les soci...

Tout ce beau monde, main dans la main, qui ressuscite l'UMPS, qu'il convient désormais d'appeler LREM : cela pourrait être touchant, émouvant même, si les conséquences de cette manœuvre politique – dont on mesurera très prochainement, j'en suis sûr, l'étendue et le cynisme – ne s'annonçaient pas tragiques. « Quelle mâle gaieté, si triste et si...

Oui, on devrait pleurer de voir avec quelle détermination vous vous employez à détruire un modèle fondé sur le nucléaire et l'hydroélectricité, garant de notre souveraineté énergétique et de notre compétitivité, qui fonctionnait depuis quarante ans.

On devrait pleurer de voir le niveau de soumission qui vous conduit à suivre les directives européennes, le petit doigt sur la couture du pantalon, et à embrasser le modèle allemand qui fait tourner à plein régime ses centrales à gaz et à charbon.

On devrait pleurer de voir à quel point votre écolo-hypocrisie sert à remplir les poches des promoteurs d'énergies intermittentes au détriment des Français et, en premier lieu, au détriment des riverains de ces projets qui, face au déploiement anarchique d'éoliennes gigantesques, ne peuvent désormais compter sur aucun autre groupe politique que...

Même les LR du Sénat, qui prétendaient défendre la ruralité, ont tout abandonné ; gageons que les maires des petites communes s'en souviendront aux prochaines élections sénatoriales.

Oui, on devrait pleurer. En réalité, les Français pleurent déjà quand on les menace de coupures en plein hiver, quand ils reçoivent leur facture d'électricité ou la nouvelle grille tarifaire multipliée par trois, par cinq, par dix. Allez demander aux boulangers, aux bouchers-charcutiers, à tous ces artisans que nous rencontrons dans nos circons...

Oui, les Français pleurent : ils comprennent que si les factures flambent, c'est parce qu'au sein du marché européen de l'énergie, le prix de l'électricité dépend de celui du gaz, c'est-à-dire du coût de production de la centrale à gaz la plus chère. Et pourquoi active-t-on des centrales à gaz en Europe ? À cause des énergies intermittentes qui...

Je le redis ici : le développement irraisonné des énergies fatales que vous proposez est une erreur ; plus qu'une erreur, une forfaiture. Nous devons renouer avec ce qui a fait notre réussite, comme ne cesse de le proposer Marine Le Pen. Nous devons investir massivement dans le nucléaire et l'hydraulique, accélérer la construction de nouveaux r...

D'autant qu'à ce jour, nous n'avons aucune industrie nationale crédible en matière d'éolien et de photovoltaïque. En injectant des dizaines de milliards d'euros dans ces énergies, nous finançons donc des multinationales étrangères. En plus d'être une absurdité sur le plan technique, énergétique et économique, rappelons une dernière fois que ce...

Alors que la classe politique française s'illustre une fois de plus par le décalage de la réponse apportée aux besoins actuels du pays, dans la perspective d'une réindustrialisation attendue et nécessaire, seuls les députés du RN font preuve de lucidité et d'ambition.

C'est pourquoi, chers collègues, nous voterons contre ce texte et appelons une dernière fois les députés courageux de cet hémicycle, s'il y en a, à faire de même. Beaucoup d'entre vous le savent, mais je le répète : le temps nous donnera raison.

Alors que, de l'autre côté du Rhin, le rêve éolien s'achève par la réouverture de vingt-sept centrales à charbon et par le doublement de la capacité de production des centrales à gaz, l'Assemblée nationale s'apprête à voter un texte qui marquera ce mandat tant son décalage avec la réalité est total. Tout au long des débats, nous, députés du Ra...

parce qu'elles sont coûteuses, multiplient les points de production d'électricité et nous mettent chaque hiver à la merci d'un blackout. Il va bien falloir répondre à cette question que nous vous avons posée mille fois pendant les débats : sans vent ni soleil, comment fait-on ? La solution, choisie par nos voisins, est toute trouvée : ouvrir ou...

Des éoliennes et des panneaux solaires partout et à perte de vue. Activités touristiques, agriculture ou encore pêche : de multiples secteurs en paieront les conséquences. Des milliers de personnes, souvent issues de milieux modestes, verront la valeur foncière de leur bien s'effondrer. Des territoires entiers, déjà marginalisés, perdront le pe...

Ce projet de loi, c'est aussi le sacrifice de la biodiversité. Lorsqu'on voit les milliers d'hectares de pins rasés dans les Landes ou les plaines de la Somme éventrées par les câbles électriques et hérissées de mâts d'éoliennes, on ne peut que craindre le pire puisque nous savons que ce texte a pour visée d'accélérer ces pratiques. Cette loi ...

En refusant la décroissance prônée par la NUPES et les mensonges climato-hypocrites de la Macronie, le Rassemblement national a démontré qu'il était le seul parti proposant une vraie transition énergétique.

Dans ce texte, rien – ou presque – sur la géothermie et la biomasse, qui pourraient pourtant être des solutions intéressantes. Rien – ou presque – non plus sur l'hydraulique, qui fait largement partie de la solution et qui nécessiterait davantage d'investissements. Nous n'avons cessé de vous le répéter. Face aux intérêts particuliers, aux pres...

Nous sommes de ceux qui refusent de massacrer nos campagnes et notre patrimoine et de détruire notre modèle électrique performant, de ceux qui n'abandonnent pas les intérêts nationaux, de ceux qui ne sacrifient pas la biodiversité et nos paysages pour des délires idéologiques.

Face à des parlementaires qui se comportent comme de véritables VRP, nous appelons tous les députés courageux à voter comme nous contre ce projet de loi. Nous ne sommes qu'au début du scandale et le temps nous donnera raison. Croyez-moi, les Français verront qui a défendu leurs intérêts.