Les amendements de Sandra Regol pour ce dossier

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Je précise qu'il est fondé sur l'intégralité de l'article 58 et sur l'article 66, alinéa 1, lequel indique que le scrutin public doit être annoncé au moins cinq minutes avant.

Or des députés appartenant au moins à cinq groupes différents n'ont pas participé au vote, faute de vous avoir entendue lancer le scrutin. Trois députés étaient en train de demander la parole pour un rappel au règlement, demandes que vous avez refusées alors qu'aucune disposition du règlement ne vous y autorise.

L'article 58 précise que le président ne peut refuser les rappels au règlement que s'ils émanent de plusieurs députés d'un même groupe.

Or ce n'était pas le cas puisqu'elles étaient formulées par des députés appartenant à trois groupes différents. Je vous redemande de retrouver l'article qui vous autorise à refuser les demandes de parole pour un rappel au règlement.

Il pourrait aussi se fonder sur l'article 58, alinéa 2. On n'attaque pas, intuitu personæ, un élu ou une élue à l'intérieur de l'Assemblée. De plus, notre collègue fait un rappel au règlement pour continuer à incriminer la même députée !

Il s'agit d'un amendement d'appel, dans le même esprit que les précédents. Je vous ai bien écouté, monsieur Le Maire, confondre ce PLFR avec le projet de loi relatif au pouvoir d'achat.

La loi le permet, les dispositifs existent, il manque juste une volonté politique pour qu'effectivement ce PLFR soit ce que votre lapsus révélait tout à l'heure, à savoir un projet qui permet d'aider les Français en matière de pouvoir d'achat. La balle est dans votre camp.

Je suis évidemment on ne peut plus d'accord avec tout ce qu'ont dit mes collègues de la NUPES, mais je voudrais également citer un exemple qui me concerne assez directement : celui d'Arte, dont le siège est à Strasbourg. Symbole cher à tous ceux qui prétendent défendre l'Europe, cette chaîne symbolise les relations franco-allemandes et la force...

Que dites-vous, monsieur le ministre délégué ? Je ne vous entends pas d'ici. Je croyais qu'il ne fallait pas interrompre les intervenants, mais, apparemment, c'est autorisé pour un ministre.

Oui, vous la dirigez, mais j'ai aussi le droit de faire remarquer des choses quand vous ne le faites pas, madame la présidente.

C'est amusant. On y reviendra plus tard, madame la présidente, mais je vais quand même continuer mon propos…

Monsieur le ministre délégué, il semblerait que je n'ai pas le droit de m'exprimer, mais je vais quand même aller jusqu'au bout.

Les écologistes seraient donc partout et Emmanuel Macron, qui l'apprendra sans doute avec joie, ferait partie de la NUPES. Ainsi, l'écologiste en chef de la NUPES dirige la France : belle découverte !

Vous l'êtes également : nous sommes au moins d'accord sur un point. Plus sérieusement, au lieu de s'attaquer aux causes réelles du problème du prix des carburants, le Gouvernement se contente de poser des rustines. Le prix, les Français finissent toujours par le payer ; je parle de ceux qui, comme moi, vivent au fin fond de la campagne et n'on...

de ceux que vous prétendez défendre mais auxquels vous n'offrez aucune véritable solution de long terme. Ces solutions, ce sont le droit à la mobilité, pour que chaque déplacement ne coûte pas un bras, le droit à un logement digne.

Nous voterons donc évidemment contre les amendements identiques. En revanche, nous soutiendrons l'amendement n° 615, qui permet d'envisager enfin une solution pérenne et logique. J'espère qu'un jour, nous cesserons d'opposer, dans cet hémicycle, fin du monde et fin du mois, car les Français en ont besoin.