Les amendements de Sandrine Rousseau pour ce dossier

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Il y a une urgence absolue à légiférer en matière de droit à l'image des enfants. Quelques chiffres déjà cités le confirment : en moyenne, un enfant apparaît sur 1 300 photographies publiées en ligne avant d'avoir atteint l'âge de 13 ans ; 50 % des photos qui s'échangent sur les sites pédopornographiques ont d'abord été publiées par les parents...

Le texte présenté par nos collègues du groupe GDR porte sur un sujet sensible – nous l'avons vu lors de la niche parlementaire du groupe LFI : la réintégration des personnels non vaccinés, suspendus par la loi votée en urgence le 5 août 2021. Cette question a provoqué pendant plusieurs mois des débats houleux, aussi bien dans le corps médical q...

En mars dernier, la Haute Autorité de santé a remis un rapport ouvrant la voie à la levée de l'obligation vaccinale. Alors que nous sommes sortis de la situation d'exception qui caractérisait l'adoption de la loi, il est nécessaire que le Parlement délibère à nouveau aujourd'hui sur cette question. C'est donc dans la continuité de cet avis et d...

Le rapport de la HAS ouvre la voie à la matérialisation de ce devoir par l'acceptation de protocoles et de mesures de protection particulières, par l'incitation à la vaccination, mais pas par l'obligation vaccinale. Voilà pourquoi nous voterons la réintégration des personnels soignants non vaccinés. Nous restons toutefois vigilants quant aux me...

Mon intervention se fonde sur l'article 100, relatif à la bonne tenue de nos débats. Je tiens à revenir sur le moment que nous venons de vivre. J'aurai une première remarque à l'attention des députés du groupe Renaissance et de leur présidente. La sincérité de votre combat sur l'égalité entre les femmes et les hommes ne serait pas mise en caus...

…mais les propos misogynes ou sexistes qui peuvent être prononcés dans l'hémicycle, et qui tombent sous le coup des mêmes articles de loi que les propos racistes, sont pléthoriques et systématiques lorsque les femmes s'expriment.

…qu'il n'est pas possible qu'en 2023 nous, les femmes politiques, nous, les femmes députées, subissions votre sexisme éhonté à l'intérieur de cet hémicycle ,

et qu'il serait temps que les mêmes sanctions s'appliquent à ces agissements que lorsque des propos LGBTphobes ou racistes sont proférés.