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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Avis favorable sous réserve de remplacer le terme « exiger » par le terme « demander ».

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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Je propose, après l'alinéa 9, d'insérer l'alinéa suivant : « considérant que la présidente de la Géorgie a opposé son veto au texte adopté par le Parlement le 18 mai 2024 ».

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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Avis favorable mais je propose une nouvelle rédaction à cet amendement. « Vu l'avis urgent sur la loi sur la transparence de l'influence étrangère rendu par la Commission européenne pour la démocratie par le droit, le 21 mai 2024. »

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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Je suis favorable à cette modification, sous réserve que cette modification soit inscrite à l'alinéa 11 plutôt qu'à l'alinéa 4. L'alinéa 4 est une déclaration du Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.

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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Madame Nathalie Oziol, je crois qu'il est opportun pour la commission de pouvoir répondre à l'actualité et envoyer un message, que cela soit à la Commission européenne, aux Géorgiens ou aux autres parlements européens. Vous effectuez des démarches similaires par le dépôt de propositions de résolution européenne et cela permet de faire vivre le débat au sein de notre commission. Il est donc bienvenu que la commission des affaires européennes soit réactive. Monsieur Berteloot, je n'ai pas compris si vous étiez opposé à la résolution parce que vous soutenez les mesures prises par le gouvernement géorgien, ce qui signifie que vous vous opposez à la ...

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Commission des affaires européennes - Intervention le 22/05/2024

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Benjamin Haddad, rapporteur

Benjamin Haddad Une image vaut parfois plus que mille mots. Une image, en particulier, symbolise le courage et la volonté du peuple géorgien face au recul démocratique et libéral dont il est la victime aujourd'hui, celle de Nana Malachkhia brandissant un drapeau européen, face aux puissants canons à eau de la police anti-émeute. Le mardi 7 mars 2023, à Tbilissi, aucune image n'incarnait mieux l'aspiration des Géorgiens à se battre pour rejoindre l'Union européenne, mais aussi leur rage contre le gouvernement qui menaçait de réduire cet espoir à néant. À Tbilissi, en 2023, en 2024, on se fait tirer dessus parce que l'on brandit un drapeau européen, symbole d'un avenir ...

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 03/04/2024

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Benjamin Haddad

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Intervention en hémicycle le 26/03/2024 : Prévention des ingérences étrangères en france

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Benjamin Haddad

Il vise à imposer aux laboratoires d'idées qui produisent des analyses de la politique publique ou de la politique étrangère de déclarer à la HATVP tous les dons et versements qu'ils reçoivent d'une entité étrangère, qu'il s'agisse d'un État, d'une entreprise ou d'un individu. Ces laboratoires d'idées, aussi appelés think tanks, exonérés d'impôt, contribuent à animer notre vie démocratique et à éclairer les décideurs publics ; il faut se réjouir de leur dynamisme et soutenir leurs financements. Toutefois, ils sont soumis à une exigence de transparence à l'égard de nos concitoyens, comme dans beaucoup d'autres démocraties. C'est la raison pour ...

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Intervention en hémicycle le 12/03/2024 : Déclaration du gouvernement relative à l'accord de sécurité franco-ukrainien et à la situation en ukraine suivie d'un débat et d'un vote

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Benjamin Haddad

L'histoire nous regarde ; les générations futures nous demanderont où nous étions alors que la guerre était de retour sur notre continent. Nous pourrons répondre que nous étions du côté de la liberté, du côté du droit, du côté de la résistance héroïque des Ukrainiens ; du côté de l'Europe.

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Intervention en hémicycle le 12/03/2024 : Déclaration du gouvernement relative à l'accord de sécurité franco-ukrainien et à la situation en ukraine suivie d'un débat et d'un vote

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Benjamin Haddad

Disons-le clairement : face à l'agression, il n'y a pas de dérobade, pas d'abstention possible. L'abstention, c'est la soumission. L'abstention des braves n'existe pas.

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Benjamin Haddad

Chers collègues, la question qui s'impose à nous est très simple : voulons-nous continuer à soutenir l'Ukraine ? Nous répondons résolument oui : nous ne nous lasserons pas, nous soutiendrons l'Ukraine jusqu'à la victoire. Jamais nous ne céderons à l'esprit de défaite !

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Benjamin Haddad

Abandonner l'Ukraine, c'est encourager les guerres de demain ; c'est récompenser la Russie au moment où elle redouble de menace et d'agressivité à notre égard avec ses provocations, ses cyberattaques et ses ingérences. C'est à la France de porter la voix de la résistance européenne. Il y va de notre intérêt et de notre responsabilité historique : celle de mener le réarmement moral d'une Europe qui sort de sa léthargie et assume de défendre sa sécurité – peut-être seule demain, sans les États-Unis ; d'une Europe qui s'engage aussi pour la sécurité de nos partenaires baltes, polonais, tchèques, suédois ou finlandais, en première ligne face à la ...

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Intervention en hémicycle le 12/03/2024 : Déclaration du gouvernement relative à l'accord de sécurité franco-ukrainien et à la situation en ukraine suivie d'un débat et d'un vote

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Benjamin Haddad

…la Syrie, le Sahel ? Comment mettre fin à la guerre si l'on ne crée par les conditions d'un rapport de force, si l'on ne montre pas à Poutine que le temps joue contre lui et que sa défaite est inéluctable ? « Les peuples qui ne veulent pas périr et qui veulent la paix doivent comprendre que ni l'une ni l'autre de ces fins ne peuvent s'obtenir sans que le risque de la guerre soit clairement envisagé », notait Marc Bloch en constatant l'étrange défaite de 1940. Les pacifistes avaient tort alors, comme ils ont tort aujourd'hui. Les bons sentiments ne repousseront pas les tanks !

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Benjamin Haddad

La faiblesse et la lâcheté nourriront l'engrenage. Aujourd'hui Guernica est à Bakhmout ; les grands cimetières sous la lune évoqués par Bernanos sont à Boutcha, à Kherson, à Kharkiv. Certains expliquent qu'il faut faire la paix. Mais avec qui ? Avec le régime de Poutine qui a violé tous ses engagements, qui verrait la négociation comme une capitulation, qui utiliserait un cessez-le-feu pour se réarmer et préparer la prochaine guerre ? S'est-il arrêté après la Tchétchénie, …

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Benjamin Haddad

L'appétit de conquête des régimes fascistes se creuse. Les démocraties ont montré leur faiblesse. D'autres renoncements suivront : après la Catalogne, les Sudètes, puis Varsovie, et finalement Paris. Toutes les époques sont différentes. Mais l'histoire porte toujours en elle un avertissement : celui d'une nature humaine violente et dangereuse, que les traités et les institutions ne domptent pas toujours ; celui du risque de l'effondrement quand on baisse la garde. L'Ukraine, c'est la guerre d'Espagne de notre génération,…

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Benjamin Haddad

L'Espagne républicaine s'effondre – un avant-goût des années sombres à venir. « Les grandes manœuvres sanglantes du monde étaient commencées », conclut Malraux.

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Benjamin Haddad

La belle affaire ! Comme d'habitude, la non-intervention est seulement respectée par les démocraties, soucieuses du droit, mais violée par les régimes totalitaires qui livrent des armes aux militaires.

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Benjamin Haddad

Bernanos, témoin des massacres dont sont victimes les Républicains espagnols, dénonce les bien-pensants et l'esprit de résignation qui domine à Paris. Cette guerre paraît lointaine, compliquée. Qui se rappelle aujourd'hui les combines tactiques au sein de la coalition du Front populaire ? La semaine suivante, Léon Blum propose un pacte de non-intervention, signé par les pays européens qui, tous, s'engagent à ne pas livrer d'armes et à rester en dehors du conflit.

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Intervention en hémicycle le 12/03/2024 : Déclaration du gouvernement relative à l'accord de sécurité franco-ukrainien et à la situation en ukraine suivie d'un débat et d'un vote

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Benjamin Haddad

La guerre est à nos frontières. Dans un contexte de divisions partisanes, les députés débattent de la réaction à opposer à cette situation. Nous sommes le 31 juillet 1936 à la Chambre des députés, lors d'un débat sur la guerre d'Espagne : faut-il armer la jeune République espagnole en proie à un putsch des militaires, soutenus par les régimes fascistes en Italie et en Allemagne ? Alors que la menace est à nos portes, les calculs politiciens court-termistes, les divisions et les renoncements l'emportent – déjà la lâcheté des uns, déjà la fascination pour les hommes forts étrangers chez les autres.

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

Rappelons-le : abandonner l'Ukraine serait désastreux pour notre sécurité, et encouragerait les guerres de demain, à un moment où les États-Unis se détournent de notre continent. Vladimir Poutine espère que nous nous lasserons, que nous nous diviserons, et que le temps jouera en faveur de la Russie. Hier, les Européens, sous l'égide du Président de la République, ont répondu : nous tiendrons. Monsieur le ministre, l'Ukraine a besoin d'armes, de missiles de longue portée, de munitions et d'aide économique. Quelles décisions collectives ont été prises, hier, pour accroître notre soutien à l'Ukraine ? Quel effet concret pouvons-nous en attendre dans les ...

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

Aujourd'hui, comme au siècle précédent, ils sont guidés par la lâcheté et l'esprit de défaite.

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

…ceux qui veulent bloquer nos institutions, pour laisser notre continent à la merci des autocrates.

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

…ceux qui confondent, comme toujours, la paix avec la soumission à l'agresseur ; ceux qui voudraient voir notre pays abandonner ses alliés ;…

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

Hier, la France a appelé l'Europe au sursaut. C'est la responsabilité historique de notre pays que de porter la voix du réarmement européen, face à la menace que fait peser la Russie. Il y a ceux, y compris ici, sur les bancs du Rassemblement national ,

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

Seule la défaite de la Russie peut assurer la sécurité et la stabilité de notre continent.

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Question orale du 27/02/2024 : Conférence internationale de soutien à l'ukraine

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Benjamin Haddad

Monsieur le ministre de l'Europe et des affaires étrangères, depuis deux ans, les Ukrainiens se battent pour leur liberté et pour notre sécurité à tous, face à l'agression. Depuis dix ans – et la « révolution de la dignité » du Maïdan –, ils meurent, le drapeau européen au poing, pour un avenir meilleur. En attaquant l'Ukraine, c'est cette aspiration européenne que la Russie veut assassiner. Nous avons, collectivement, trop tardé à donner aux Ukrainiens les moyens de vaincre l'agresseur.

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Commission des affaires étrangères - Intervention le 14/02/2024

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Benjamin Haddad

Nous sommes opposés à cet amendement de réécriture des alinéas 53 à 57. Le texte vise à envoyer un message de dissuasion aux dirigeants de l'Azerbaïdjan. Il exprime clairement le fait que nous envisageons des sanctions en cas de menace contre l'intégrité territoriale de l'Arménie. S'il existait, demain, une menace directe pesant sur cette dernière, il serait aberrant de ne pas envisager de sanction. Le texte doit être explicite sur ce point. Cela n'exclut en rien la volonté de parvenir à un accord de paix, au contraire. Il s'agit de s'inscrire dans une logique de négociation et de rapport de force. Il faut conserver les alinéas 53 à 57 dans le texte, pour ...

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Commission des affaires européennes - Intervention le 07/02/2024

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Benjamin Haddad

Nous allons rejeter cette proposition de résolution pour différentes raisons. Madame la rapporteure, vous êtes ici atteinte de « sur-transpositionnite » aiguë. La négociation européenne n'est pas terminée et vous voudriez nous faire adopter une version qui n'a pas encore fait l'objet d'un accord au Conseil. Votre résolution est complotiste. Vous affirmez que c'est la France qui bloque l'accord au Conseil, mais cela est faux. Le 13 décembre, l'Estonie, la Bulgarie, l'Irlande, la Grèce, l'Italie n'ont pas soutenu la position de la présidence espagnole. Puis la France a soutenu les textes présentés par la présidence belge, mais ceux-ci n'ont pas trouvé de ...

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Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république - Intervention le 01/12/2023

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Benjamin Haddad, rapporteur pour avis

Benjamin Haddad Cet amendement, qui s'inspire de l'instrument européen de coopération, propose de se donner l'objectif de consacrer 10 % de notre aide au développement à l'augmentation des capacités migratoires de nos partenaires. Il s'agit, hors de toute conditionnalité, de les aider à mieux maîtriser leurs frontières, à mieux accueillir les réfugiés, à développer leur état civil par exemple. Ainsi, la Tunisie n'a pas de politique d'asile ni de maîtrise de ses frontières.

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Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république - Intervention le 01/12/2023

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Benjamin Haddad, rapporteur pour avis

Benjamin Haddad La commission des affaires étrangères propose d'exclure les étudiants des mesures de restriction de délivrance de visas prises en cas de non-coopération de leur État d'origine en matière de politique migratoire. Ils participent au rayonnement de nos universités et de notre recherche et contribuent à notre économie.

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Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la république - Intervention le 01/12/2023

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Benjamin Haddad, rapporteur pour avis

Benjamin Haddad Cet amendement propose d'ajouter à la liste des visas dont la délivrance pourrait être refusée les visas de court séjour sollicités par les titulaires de passeports diplomatiques ou de service, ressortissants d'États délivrant un nombre particulièrement faible de laissez-passer consulaires ou ne respectant pas un accord bilatéral ou multilatéral de gestion des flux migratoires. Il s'agit de cibler, autant que possible, les décideurs, les dignitaires et les gouvernements de pays non coopératifs plutôt que les populations.

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