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Interventions sur "certain"

388 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Kasbarian, président :

Nous avons déjà eu l'occasion de discuter de cette question, tout comme j'ai évoqué l'article 45 de notre Règlement et l'irrecevabilité de certains amendements.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThibault Bazin :

...e référence explicite à ce régime exceptionnel, comme cela est du reste prévu à l'article 12 du projet de loi. Pour ce qui est du modèle financier, vous avez prévu une couverture des coûts associés à la constitution des stocks de sécurité complémentaires par les tarifs régulés, qui répondent donc à cette obligation de service public. Le mécanisme financier proposé n'est toutefois pas adapté pour certains opérateurs, en raison, tout d'abord, de l'ampleur des montants en jeu, compte tenu d'un effet volume et d'un effet prix. Un financement spécifique est donc nécessaire. En outre, un financement a posteriori reposant sur les tarifs régulés des opérateurs d'infrastructures posera à court terme la question du préfinancement de ces montants énormes. L'amendement vise donc à corriger le disposi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHervé de Lépinau :

Moi qui suis un bleu, au début de mon premier mandat, je ne comprends pas pourquoi cette disposition s'inscrit dans le cadre de la loi relative au pouvoir d'achat. Merci de m'apporter une explication, qui intéressera certainement d'autres collègues.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMatthias Tavel :

Le code du travail est une chose, l'accord de branche et le statut des industries électriques et gazières en sont une autre. Puisque certains des articles que vous nous proposez démontrent la supériorité, en situation de crise ou de pénurie, des solutions collectives et de la régulation par rapport à la libre organisation du marché – il s'agit en effet de forcer au remplissage de cuves de gaz, et on n'est pas loin d'une économie planifiée, ou du moins administrée –, tout ce qui peut être précisé en ce sens, notamment en matière de rég...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Tabarot :

parce que nous sommes très attachés à la construction européenne et à nos alliances stratégiques, dans le respect de notre souveraineté. Et parce que plus que tout, nous voulons restaurer l'unité et la grandeur de la France. Celle-ci passe par la fierté de notre culture, de notre patrimoine et de notre histoire, et certainement pas par leur déconstruction méthodique. Si certains groupes politiques qui ont une longue tradition de gouvernement ont fait le choix d'associer leurs voix à celles de l'extrême gauche, au risque de diviser encore plus la France, ce ne sera pas notre cas.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Tabarot :

Je sais qu'à l'issue de ce débat, certains vont être tentés de délivrer des labels d'opposition aux uns et aux autres. Mais nous n'avons aucune leçon à recevoir de qui que ce soit.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Tabarot :

...s attentes de nos concitoyens, qui savent pouvoir compter sur nous. Je l'ai dit, madame la Première ministre, nous ne voterons pas cette motion de censure. Mais vous l'avez compris : si vous n'avez pas notre défiance aujourd'hui, vous n'avez pas pour autant notre confiance. Nous jugerons votre gouvernement sur ses actes et sur sa capacité à construire dans le respect des uns et des autres. Sur un certain nombre de sujets, nous pourrons sans doute agir ensemble, avec pour ambition prioritaire de redonner à la France son unité et sa place dans le monde. Travaillez dans l'intérêt des Français, et nous serons avec vous. Décevez-les une nouvelle fois, et nous serons vos premiers opposants.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Vigier :

... n'a pas demandé un vote de confiance – même si, sans atteindre la majorité absolue, elle pouvait naturellement compter sur le soutien des trois groupes de la majorité –, mais je ne crois pas un seul instant que tous les groupes d'opposition – que tout oppose, si on les écoute, mais qui ne sont pas si opposés en réalité – auraient mêlé leurs votes dans le seul but de faire tomber le Gouvernement. Certains – ils viennent de le dire à nouveau – comme Les Républicains et le Rassemblement national avaient d'ailleurs dit, avant même le discours de la Première ministre, qu'ils ne voteraient pas votre motion de censure. Vous lui avez donc offert un vote de confiance implicite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Vigier :

...ntre le réchauffement climatique et décarboner nos énergies sont totalement incompatibles ? Je ne le pense pas. Croyez-vous que les chemins à emprunter pour atteindre le plein emploi, permettre aux entreprises de trouver enfin les salariés qu'elles recherchent et faire sortir de la précarité ceux qui s'y trouvent depuis trop longtemps sont des lignes parallèles qui ne se croisent jamais ? Je suis certain que non. Au moment même où je m'exprime sont annoncés, au sommet « Choose France » qui se tient à Versailles, cent nouveaux projets industriels pour notre pays. L'un d'eux, qui concerne ma circonscription, est cher à mon cœur – je vous le dis avec émotion !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Faure :

Aux contestations populaires, qu'avez-vous opposé sinon votre mépris ? Ce week-end encore, votre lointain prédécesseur à la tête du gouvernement expliquait que sa réforme des retraites était « trop intelligente » ! Il faut en finir avec cette arrogance technocratique qui vous a conduits à penser que vous déteniez le monopole du savoir. Il y a certaines choses que nous savons et que les Français savent. Nous savons que 10 millions de nos compatriotes vivent sous le seuil de pauvreté.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Mesnier :

les élus de la NUPES ont choisi de rejeter le choix que les Français ont exprimé dans les urnes en avril et en juin. Cela démontre aussi, si c'était encore nécessaire, que la NUPES n'est pas dans une logique d'écoute, d'échange ou de construction. Nous le regrettons et nous craignons que certains de ses électeurs ne le regrettent aussi.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Mesnier :

…pour l'environnement, pour leur sécurité. Nous ferons aussi le choix du respect : respect des institutions bâties pour permettre la continuité de l'État, respect de la démocratie, par laquelle s'est exprimé un choix très clair dans les urnes, n'en déplaise à certains ,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Mesnier :

...uteur des défis de leur temps. Ils ont travaillé, composé, sans jamais se renier. Je peine à imaginer que vous poursuiviez dans la voie de cet asservissement aux Insoumis. Il est encore temps de changer. J'aime à penser, nous aimons à penser, que cette motion sera un échec pour l'entreprise de défiance de M. Mélenchon, mais qu'elle pourra être une victoire si elle permet de tracer un chemin vers certains d'entre vous dans le travail que nous demandent les Français.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCyrielle Chatelain :

...s votre discours, vous nous en avez peu parlé. Lorsque vous l'avez fait, c'est pour vanter la liberté d'entreprendre. Que les journalistes du Consortium international des journalistes d'investigation soient remerciés : leur enquête sur Uber éclaire nos débats. Elle a dévoilé les échanges qui ont eu lieu dès octobre 2014 entre les dirigeants d'Uber et le ministre de l'économie tout juste nommé, un certain Emmanuel Macron. On comprend alors que pour la Macronie naissante, la liberté, c'est celle d'un tout petit nombre de Français qui peut disposer de la vie des autres. C'est, me semble-t-il, une définition honnête et sans parti pris de l'uberisation de nos sociétés. La liberté que vous chérissez repose sur une société du servage.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

Or nous avons le sentiment que vous faites semblant, que vous bluffez – ce n'est pas nouveau, mais cela ne trompe personne. Vous confortez, avec vos choix, la domination des puissances d'argent. Ainsi se nourrit le drame qui nous guette. Vous êtes en train de céder à une tentation dangereuse. Vous essayez, d'une certaine manière, un coup de poker qui consiste à faire de votre faiblesse un argument pour rejeter la responsabilité de vos échecs sur les autres. Vous inversez les rôles. En réalité, vous voulez continuer d'expliquer qu'il n'y a pas de droite et pas de gauche, mais simplement la macronie éclairée, avec sa politique de droite !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Naegelen :

Heureusement, nous pouvons nous accorder sur certains points ; je pense notamment à la déconjugalisation de l'allocation aux adultes handicapés, dont j'espère qu'elle sera défendue prochainement et votée unanimement, sans posture partisane…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

...uestion n'ont pas su faire face et agir : ils sont à l'origine de la loi Neuwirth relative à la contraception, ou encore des accords de Grenelle. N'ont-ils pas permis à la France d'avancer ? De même, Michel Rocard n'a pas demandé de vote de confiance en 1988, et personne ne peut nier que son gouvernement a conduit des réformes profondes et durables – j'espère que ce constat est encore partagé sur certains bancs à gauche. Son gouvernement a créé le revenu minimum d'insertion (RMI) et a instauré la contribution sociale généralisée (CSG). N'était-il pas légitime pour mener des réformes ? À vous écouter, madame la présidente et messieurs les présidents des groupes d'opposition de gauche, tous les gouvernements devraient invariablement solliciter un vote de confiance.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexandre Loubet :

Au nom du peuple français, nous serons fiers de défendre cette « certaine idée de la France » à la tribune de l'Assemblée nationale.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEmmanuelle Ménard :

N'en déplaise à certains, Jean-Luc Mélenchon n'a pas été nommé Premier ministre.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-René Cazeneuve, rapporteur général :

Je vous remercie, monsieur le ministre délégué, pour cet exposé très clair et exhaustif. L'année 2021 témoigne du bien-fondé des choix politiques et économiques que nous avons faits. Sans vouloir polémiquer, je rappelle aux oppositions quels drames sociaux et économiques elles annonçaient il y a un ou deux ans. Certains ici imaginaient un million de chômeurs supplémentaires et un volume des dépôts de bilan considérable… Les chiffres pour 2021 valident nos choix. Le rebond économique de 2021 a été exceptionnel, bien supérieur à celui de nos voisins, et nous a permis de couvrir un certain nombre de dépenses dues à la crise du covid, de financer le plan de relance et la transition écologique et d'assurer une augme...