Intervention de Jacques Myard

Réunion du 23 juillet 2014 à 11h00
Commission des affaires étrangères

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Myard :

S'agissant du dossier nucléaire iranien, les négociateurs sont tombés dans les errements bruxellois en arrêtant les pendules ! Il existe visiblement des blocages, notamment sur le nombre de centrifugeuses. Où en est-on exactement ? J'aurais aimé avoir, si possible, davantage de précisions.

S'agissant du crash de l'avion en Ukraine, selon les informations qui nous parviennent ce matin, nous ne disposerions pas de preuves. Néanmoins, il y a des soupçons de part et d'autre. Cette tragédie ne peut-elle pas avoir un rôle cathartique, dans le sens où les parties comprendraient qu'elles sont allées trop loin et qu'elles doivent désormais trouver une solution ?

La situation à Gaza est, à l'évidence, une bombe à retardement, quelles que soient les responsabilités de l'un ou de l'autre camp dans la crise actuelle. N'y a-t-il pas des éléments qui permettraient de trouver une solution politique pour arrêter cette crise, pour peu que la communauté internationale – notamment la France, de manière un peu indépendante – tape du poing sur la table ? À défaut, la crise risque de produire des métastases jusque dans nos banlieues.

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