J'ai quelques réflexions à la lecture de votre « troisième acte ». Vous y parlez de naissance et de renaissance. S'agit-il d'une convergence ou d'une divergence de vues sur l'usage des mots avec le Président de la République ? Dans votre discours, vous parlez de la primauté de la démocratie, ainsi que des cinq têtes dirigeant l'Union européenne. Mais il y a aussi d'autres élus. Ne s'agit-il pas de les remettre au coeur de la gouvernance ? N'est-ce pas une erreur d'avoir limité le débat politique depuis 25 ans ? J'ai toujours pensé qu'on construisait dans la difficulté. N'est-ce pas l'année de la construction européenne plutôt que celle de la renaissance ? N'est-ce pas cette période de conflit politique important qui fait la vraie réussite de l'Europe ?