La proposition de loi prévoit environ 10 milliards d'euros par an, soit 5 milliards issus de l'ancien CITE ainsi que de la suppression du taux réduit de TVA à 5,5 %, et 5 milliards mobilisés par l'ANAH sur les marchés financiers. Si vous revenez sur la suppression du taux réduit de TVA, où trouvez-vous les fonds correspondants ?
Par ailleurs, vous confiez de nouvelles missions, très lourdes, à l'ANAH, sans jamais accroître son budget. Comment comptez-vous renforcer l'agence ?