Les amendements de Sébastien Jumel pour ce dossier

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Vous actualisez, à votre manière, le libéralisme, et cela nous incite à redonner de la force à une certaine conception de l'État-providence.

En commission spéciale, nous avons assisté à l'enterrement de première classe du COR, après avoir rendu hommage à son travail. Nous avons remercié le COR pour services rendus en l'enterrant. Vous créez une instance au sein de laquelle les organisations syndicales seront contraintes, voire simplement spectatrices, tout en multipliant les occasi...

Comme me le souffle mon camarade Dominique Potier, votre projet n'a ni COR, ni âme, ni esprit de solidarité : voilà un beau résumé de l'article 2.

Ce rappel au règlement pour dénoncer un fait personnel. Je trouve désobligeant de considérer que nos collègues de droite sont des planches pourries. Ce n'est ni vrai ni à la hauteur de leur engagement.

Sur le fond, il y a Un jour sans fin, L'homme qui valait 3 milliards… et l'homme qui perdait 4 milliards ! Nous vous posons une question claire sur ces 4 milliards qui s'envolent. Vous les prenez dans la poche des plus riches… non, vous les leur donnez…

Vous voyez, je finis par ne plus rien comprendre à votre film ! Bref, à que rythme allez-vous les piquer aux plus pauvres ? Selon quelles modalités ? Votre réponse sera de nature à éclairer le débat, monsieur le secrétaire d'État. Vous devez nous répondre : 4 milliards par an, ça fait du bruit !

Non, je parle de la forme, madame la présidente. Traiter nos collègues de planches pourries est désobligeant ! Enfin, votre maison est sans fondations, sans toit, sans volets. C'est un courant d'air, elle prend l'eau de toute part !

Même le Conseil d'État affirme qu'elle n'est pas étanche ! Répondez aux questions que nous vous posons !

On vient d'expliquer aux agriculteurs que le Gouvernement s'apprête à renoncer à la parole donnée parce qu'il ne trouve pas 1 milliard

et vous faites cadeau de quatre fois plus aux plus riches ? Et votre justification, c'est « On lissera, on absorbera, ca va aller, ne vous inquiétez pas, ça ne se verra pas, ça se fera en douceur » ? Mais de qui vous moquez-vous !

Vous avez décidé de câliner les plus riches ! Vous avez décidé de faire payer les plus pauvres ! Vous avez décidé d'humilier les agriculteurs ! Vous avez décidé de renoncer à la parole donnée ! Mais de qui vous moquez-vous !

Ce n'est pas possible ! Dans quel monde vivez-vous ? Allez expliquer au Salon de l'agriculture que vous leur refusez 1 milliard mais que vous en offrez 4 aux autres !

Même quand vous instaurez un régime spécial, vous ne protégez pas les personnes concernées. C'est fou ! Même quand vous pensez faire bien, vous faites mal. La remise en cause du calcul de la pension sur les traitements des six derniers mois affecte les militaires puisqu'il est d'usage de récompenser un militaire pour sa carrière en le nommant a...

Pourquoi une telle fixation, une telle idée fixe visant à flinguer les dix régimes spéciaux qui sont le fruit de l'histoire de notre pays ? Pourquoi tant de haine, tant de bordel…

Le bordel, ce n'est pas un gros mot ! Pourquoi tant de bazar pour des régimes qui ne concernent que 1,4 % de la population active, soit 930 000 bénéficiaires et 4 % des retraités – sinon dans un but idéologique, pour adhérer au projet de société de Margaret Thatcher ? Celle-ci disait en effet « There is no society » : il n'y a pas de société. V...

… qu'ils ont été modifiés par la loi Fillon de 2003, puis par les décrets de 2008, la loi de 2010, les décrets de 2012 et enfin la loi du 20 janvier 2014 – au point qu'ils épousent au fur et à mesure les régimes généraux ?