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Mais oui ! Je vous invite à venir voir !
Il fallait voter notre amendement ! On vous a tendu la main !
L'amendement tend à supprimer les mots « accompagnée éventuellement d'une souffrance psychologique liée à cette affection ». Il me semble que la notion de souffrance psychologique n'est pas suffisamment claire pour que nous en fassions un critère. Quant au terme « éventuellement », c'est le contraire du droit : une souffrance physique est accom...
Cela ne veut rien dire !
L'article place sur le même plan les soins palliatifs et le suicide assisté et l'euthanasie, ce qui pose un problème. Il faut établir une hiérarchie et accorder la priorité aux soins : les soins palliatifs, trop négligés depuis ces dernières années, doivent redevenir la nôtre.
C'est vrai ! Non à la censure !
On semble tenir pour acquis, implicitement, que le suicide assisté et l'euthanasie seront financés par la sécurité sociale. Nous n'en avons pas délibéré à ce stade, puisque cela figure dans l'article 19 du projet de loi, mais on est train de l'admettre.
Nos grands ancêtres, ceux qui ont créé la sécurité sociale, s'en retourneraient dans leurs tombes : ils l'ont instaurée pour permettre l'accès aux soins. Je préfère que l'argent que l'on envisage d'allouer à la mort administrée…
…soit consacré au développement des soins palliatifs – domaine dans lequel nous avons un retard considérable !
Nous n'en voulons ni pour les Français, ni pour les autres !
Mais si !
Il y a pourtant le mot « droit » !
Au contraire, le texte est tissé d'ambiguïtés !
Permettez-moi d'insister sur les conséquences du dernier vote : le mot « droit » apparaît désormais dans le texte, alors qu'il n'avait pas été initialement retenu par le Gouvernement. En soutenant son introduction, celui-ci va au-delà de ses intentions initiales.
Voilà la réalité, voilà ce que nous combattons et voilà ce qui est inadmissible ! Madame la ministre, votre avis dément la recherche d'une position équilibrée dont vous vous prévalez.
Ce n'est pas une déclaration, c'est un propos très simple !
Chacun l'aura compris : le mot « possibilité » a seulement été introduit pour rassurer le quidam et, ce qui est peut-être plus grave encore, les auteurs et les défenseurs de cet article. Une digue vient de sauter, mais c'est depuis longtemps que nous nous opposons à ce projet, lequel est d'ailleurs ancien. Jacques Attali a notamment signé dès ...
Ce n'est pas une exégèse mais une lecture attentive du projet de loi.
Il est vrai que les macronistes n'ont jamais été très clairs !
Que les choses soient claires, madame la ministre : si le mot « moyen » est maintenu dans votre amendement, nous ne le voterons pas. Nous considérons que le pronostic vital ne peut être apprécié qu'à court terme. Nous légiférons sur des questions très graves. Si nous restons dans l'ambiguïté et dans le flou – une collègue de la majorité a emplo...