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– et non seulement à certains sous-amendements qui, d'ailleurs, pourraient bien n'être même pas défendus !
Sans cela, le Parlement serait privé de l'exercice du droit d'amendement et les députés seraient privés du droit de disposer d'une réponse du rapporteur et du ministre.
Très bien !
Depuis 2017 ? Il ne faut pas exagérer quand même !
Encore faudrait-il que nous puissions déposer des amendements !
Le débat sur ces sous-amendements révèle les vrais clivages. Je respecte ce qu'a dit Mme Batho…
…même si j'y suis opposé.
Elle préconise la décroissance, et moi j'encourage la croissance. Il faut soutenir les gens qui travaillent, les paysans, les ouvriers de l'agroalimentaire, les filières et les compétences. Mon sous-amendement va au-delà de ces réflexions. L'agriculture alimentaire n'est pas seulement une question de vente de proximité ; c'est aussi une affair...
Le sujet, pour la France et pour l'Europe, est le suivant : abandonnons-nous l'arme alimentaire aux seuls Russes, Ukrainiens, Américains, Australiens et Brésiliens ?
Gardons-nous notre part dans ce débat ? Telle est la question, qui se pose très concrètement. Aujourd'hui, nous dépendons de l'engrais russe – sans engrais, un pays ne tient pas deux ans sans voir sa production céréalière s'effondrer.
Nous devenons dépendants de la production de volaille ukrainienne, parce que nous avons ouvert notre marché sans quotas ni droits de douane à de grands intérêts ukrainiens, cotés à la Bourse de Londres et domiciliés à Chypre.
Ils diffusent des volailles sur notre territoire au détriment de nos producteurs.
Sachons élever le débat, le sujet est géopolitique ! Nous ne parlons pas de la vente de produits chics sur les marchés chics, mais de la production alimentaire mondiale. Des pays ont besoin de nos produits – les pays du Maghreb et l'Égypte ne peuvent pas se passer des productions céréalières de l'Occident. Il faut savoir leur fournir et ne pas ...
Il vise à préciser que la loi garantit aux exploitants agricoles la liberté de gérer leur capacité et leur mode de production. J'ai fait le tour de tous les barrages agricoles – où j'ai été, je dois le dire, très bien accueilli –, et j'y ai entendu un message : il y a trop de normes, trop de contrôles, trop de contraintes. Les agriculteurs nou...
Et laissons les agriculteurs choisir leur modèle ! Il y a encore vingt ou trente ans, il y avait un modèle unique. Désormais, certains font le choix du bio, d'autres de la proximité, d'autres encore de la production intensive, et il y a bien d'autres possibilités. Respectons le choix des agriculteurs, et arrêtons de vouloir leur imposer une nor...
Ce qu'ils veulent, ce sont des espaces de liberté, cette liberté que l'on a inscrite dans la devise de notre pays et dont on prive nos paysans. Finissons-en avec ces contraintes absurdes !
La nouvelle rédaction qui nous est proposée a au moins un mérite : le terme « élevage » y apparaît. Il ne figurait pas dans la rédaction initiale, le ministère l'avait oublié !
Le présent amendement énumère différentes formes d'élevage : l'apiculture, le pastoralisme, etc. Dès lors que l'on en cite quelques-unes, il me semble nécessaire de les citer toutes, afin de saluer l'ensemble de nos éleveurs : bovins, laitiers, ovins, caprins, avicoles, de lapins – qui connaissent une crise réelle –, de canards – qui sont confr...
Rendez-vous compte, 22 % !
Ils avaient donc un rapport avec le texte !