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Intervention en hémicycle le 08/04/2024 : Accompagnement humain des élèves en situation de handicap

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Fatiha Keloua Hachi

Le groupe Socialistes et apparentés votera pour cette proposition de loi, parce qu'elle soulagera les collectivités territoriales d'une lourde dépense et parce que les familles ont besoin d'une prise en charge pendant la pause méridienne. Toutefois, comment les enseignants et les coordonnateurs de Pial, qui sont souvent des directeurs, feront-ils face à la situation lorsqu'ils réorganiseront, à partir du 16 août, le fonctionnement des établissements ? Prenons un exemple concret : dans mon département, la Seine-Saint-Denis, le déficit d'AESH sera de 40 % à la rentrée scolaire. Autrement dit, pour cent enfants élèves en situation de handicap ayant besoin ...

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Intervention en hémicycle le 08/04/2024 : Accompagnement humain des élèves en situation de handicap

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Fatiha Keloua Hachi

Enfin, notre collègue Philippe Naillet a déposé un amendement, très important pour notre groupe, afin de ne pas oublier les territoires ultramarins, dans lesquels la rentrée scolaire ne se fait pas en septembre mais plus tôt. Nous voterons donc cette proposition de loi même s'il reste beaucoup de chemin à parcourir.

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Intervention en hémicycle le 08/04/2024 : Accompagnement humain des élèves en situation de handicap

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Fatiha Keloua Hachi

Disons 96 % – et donc « elles ». La prise en charge financière par l'État de la pause méridienne, n'y changera rien : elles continueront à travailler trente-deux heures par semaine et non trente-cinq. Cette mesure, qui doit permettre de compléter leur service et ainsi d'augmenter leur rémunération – laquelle ne dépasse pas aujourd'hui en moyenne les 900 euros par mois –, est insuffisante. Par ailleurs, l'AESH doit aussi déjeuner. Comment faire si elle travaille pendant la pause méridienne ? Il faudra trouver une solution. Pour mémoire, depuis de nombreuses années, les socialistes en défendent une. Ils proposent que le temps de préparation des ...

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Intervention en hémicycle le 08/04/2024 : Accompagnement humain des élèves en situation de handicap

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Fatiha Keloua Hachi

Combien d'AESH manque-t-il en France pour accompagner nos élèves en situation de handicap ? Chaque année, au moment de l'examen du projet de loi de finances (PLF), l'État transmet dans le bleu budgétaire un indicateur important en matière d'inclusion : le taux de couverture des notifications MDPH. Ce taux correspond à la proportion d'enfants pour lesquels la MDPH a reconnu la nécessité d'une aide humaine durant le temps scolaire mais qui ne bénéficient pas d'AESH faute de personnels en nombre suffisant. Il s'élevait à un peu plus de 6 % des enfants en situation de handicap, en 2020, et un peu plus de 8 % en 2022. La part d'élèves dépourvus d'AESH est ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discrimination capillaire

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Fatiha Keloua Hachi

J'entends les arguments du rapporteur et, dans un souci de coconstruction, je retire mon amendement. Je suggère à M. Breton de faire de même avec les siens – qu'il est le seul à approuver – afin que nous puissions avancer.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discrimination capillaire

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Fatiha Keloua Hachi

Rattacher la discrimination capillaire à la seule discrimination physique, et non à la discrimination raciale, nous inquiète. En effet, en l'état de la rédaction, la discrimination capillaire est considérée comme une discrimination physique. Or, dans bien des cas, il s'agit d'une discrimination liée à l'origine de la personne. Ainsi, nombre d'entreprises considèrent qu'il n'est pas « professionnel » d'avoir le cheveu crépu. L'objectif du rapporteur étant de lever le voile sur cette discrimination, l'amendement vise à rattacher explicitement la discrimination capillaire à celle fondée sur l'origine.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion d'une proposition de loi

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Fatiha Keloua Hachi

Les sciences sociales démontrent que les standards de beauté sont racialisés. En effet, ils sont les manifestations de nos représentations issues de l'histoire coloniale et de l'esclavage. Selon l'anthropologue Ary Gordien, « en Afrique, en Europe et aux Amériques, le passé colonial explique que la norme européenne du cheveu lisse se soit imposée comme critère de beauté ». Il est temps de reconnaître que la discrimination capillaire est une réalité quotidienne, une pression sociale qui impose de conformer ses cheveux à des normes arbitraires et oppressives. Ces normes sont oppressives, surtout quand elles obligent des millions de femmes à dépenser des ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion d'une proposition de loi

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Fatiha Keloua Hachi

Les cheveux sont politiques. Ils sont un symbole de libération, mais aussi un moyen d'oppression ; ils font l'objet de fantasmes, mais aussi de discriminations. À celles et ceux qui en doutent dans cet hémicycle, je dis que la discrimination capillaire est bel et bien une réalité. Une réalité sociale, aux conséquences parfois désastreuses sur la construction de soi et l'insertion dans la société, en particulier dans le monde du travail. Cette réalité n'est pas étrangère à notre pays. Elle questionne la norme physique dominante dans notre société française et occidentale ; elle interroge sur sa construction et sur sa nécessaire déconstruction. La ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Après le vote de cette proposition de résolution, la bataille des mots et des chiffres continuera. Dès demain, il faudra se remettre à l'ouvrage et ne plus entraver le travail des historiens et des associations. C'est ce que nous souhaitons. J'ai une pensée pour ceux qui seront soulagés de voir enfin la mort de ces innocents inscrite dans la mémoire collective et la responsabilité de l'État reconnue. Je pense aussi à tous ceux pour qui la violence de la colonisation fait partie de leur histoire ; c'est aussi pour eux que nous devons écrire cette nouvelle page. Parler sans tabou du passé, sans occulter le présent ni l'avenir : voilà le chemin qu'il nous ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

En votant cette proposition de résolution, nous déciderons précisément d'inscrire enfin dans notre mémoire collective un épisode qu'on a voulu étouffer. En la votant, nous franchirons un pas supplémentaire vers la fin des non-dits de l'histoire coloniale, qui empoisonnent les débats sur l'identité et le roman nationaux. L'extrême droite et les partisans de la haine se délectent de ces non-dits, qu'ils instrumentalisent pour fracturer davantage notre société.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

nous répondons : « Comment pourrions-nous tourner une page qui n'a pas été écrite ? »

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

à ces non-dits qui minent la société française. Nous vivons dans une société postcoloniale qui n'a pas fait le travail nécessaire sur son histoire coloniale, aussi honteuse soit-elle. À ceux qui nous appellent à tourner la page ,

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

…et que nous devons le reconnaître pour avancer. Le groupe Socialistes et apparentés votera donc sans aucune hésitation cette proposition de résolution. Vive la France ! Vive la République ! Vive l'amitié franco-algérienne !

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Le temps est venu de dire que la France, notre pays, est responsable de ce crime,…

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Ils attendent de nous de la dignité – et non l'indignité que vous êtes en train de proférer.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Ils ne disent rien. Ils ne crient pas à la violence ou la vengeance.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Eh oui : nous devons leur rendre hommage parce qu'ils ne crient pas.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Au total, quelque 12 000 Français musulmans d'Algérie sont raflés, parqués, tabassés, et, pour les moins chanceux d'entre eux, noyés dans les eaux froides de la Seine. L'histoire du 17 octobre 1961 est donc celle d'un crime d'État – d'un crime colonial –, et non celle de débordements policiers individuels, ni même d'une action autonome de la préfecture de police. Elle est aussi celle d'un mensonge d'État, d'une dissimulation politique et médiatique, d'un effacement judiciaire et du travail empêché des historiens. Dès le lendemain du massacre, le contre-récit officiel s'organise : Matignon, l'Élysée et le ministère de l'intérieur s'appliquent à ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Tout avait été préparé : les bus de la RATP avaient été mobilisés, le parc des expositions de Villepinte réquisitionné. Les consignes étaient claires : nulle pitié n'était permise pour ces Algériens.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Que s'est-il passé le 17 octobre 1961 ? Ce n'était pas un simple maintien de l'ordre qui aurait dégénéré, mais un bain de sang prémédité, une chasse à l'homme organisée ; le spasme violent d'un pouvoir qui savait que le monde de domination coloniale qu'il avait bâti pendant des siècles était en train de s'effondrer définitivement ; une terreur sanglante orchestrée par le préfet de police de Paris, Maurice Papon, celui-là même qui, à peine vingt ans auparavant, s'était déjà rendu coupable des pires crimes contre l'humanité.

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Fatima Bedar avait quinze ans. Son visage – celui d'une jeune fille sans histoire, aux joues rosées et aux deux longues tresses brunes –, représenté sur une fresque à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, m'a longtemps hantée – elle est morte noyée dans la Seine parce qu'elle était Algérienne. Resté trop longtemps oublié, il doit désormais être connu de tous. Comme Fatima, plusieurs centaines d'Algériennes et d'Algériens périrent, assassinés, durant cette nuit sombre d'octobre 1961. Et puis rien… Il s'en est ensuivi un silence assourdissant et complice, une amnésie d'État, un effacement administratif ; une simple inscription – « Ici on noie ...

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Intervention en hémicycle le 28/03/2024 : Discussion des articles

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Fatiha Keloua Hachi

Laissez Albert Camus tranquille ! Il était anticolonialiste !

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Intervention en hémicycle le 26/02/2024 : L'école publique face aux politiques de tri social

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Fatiha Keloua Hachi

Je vous souhaite la bienvenue au ministère de l'éducation nationale et de la jeunesse et je nous souhaite de la stabilité dans ce ministère. La succession de quatre ministres en deux ans a en effet envoyé un message négatif à la communauté éducative. Ma première question porte sur les mesures que vous souhaitez engager pour lutter contre la ségrégation scolaire. Le constat est clair : un tri social est pratiqué entre les établissements publics et privés. L'école publique compte ainsi 42 % d'élèves défavorisés, contre seulement 18 % pour le secteur privé. Une mesure simple consisterait à infliger un malus financier aux établissements privés au ...

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Intervention en hémicycle le 26/02/2024 : L'école publique face aux politiques de tri social

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Fatiha Keloua Hachi

Je voudrais d'abord vous interroger sur l'IPS, un outil au service de la mixité que l'on sous-exploite. Comment pourrions-nous mieux l'utiliser pour favoriser la mixité dans les écoles privées, mais aussi et surtout dans les écoles publiques ? Ensuite, je trouve que l'uniforme est un outil de tri social. Ceux qui en sont les promoteurs s'attachent à minimiser son impact, en expliquant qu'il ne concernera que quatre-vingt-dix classes à titre expérimental et que ce n'est donc pas grand-chose. Ce matin, Nicole Belloubet disait que son objectif est de pacifier les classes et de lutter contre le harcèlement. Mais à mon sens, l'uniforme est un cache-misère, et ce ...

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Intervention en hémicycle le 26/02/2024 : L'école publique face aux politiques de tri social

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Fatiha Keloua Hachi

Je poserai deux questions. La première s'adresse plutôt à la sociologue et la seconde aux syndicats, mais vous pourrez y répondre comme vous voudrez. Il me paraît important de revenir sur les groupes de niveau qui seront instaurés à la rentrée prochaine en mathématiques et en français dans les classes de sixième et de cinquième. Les inégalités sociales à l'école sont réelles. Comme le montre la dernière étude Pisa (Programme international pour le suivi des acquis des élèves), les résultats des élèves français sont fortement corrélés à leur niveau social. Pourquoi donc créer des groupes de niveau, si ce n'est pour mener une politique de tri ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Pérenniser les jardins d'enfants

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Fatiha Keloua Hachi

Je vais essayer d'apaiser un peu l'ambiance parce que je trouve que le ton du précédent orateur était un peu trop sérieux… Vouloir scolariser de force un enfant de 2 ans et demi ! Pour commencer, je veux exprimer ma satisfaction que nous examinions cette proposition de loi dans l'hémicycle, car elle permet de mettre à l'ordre du jour de l'Assemblée la question des jardins d'enfants. Cela vient d'être dit, la loi pour une école de la confiance a rendu obligatoire l'instruction à 3 ans. Son article 18 instaurait une dérogation jusqu'à la rentrée 2024 pour les enfants inscrits en jardin d'enfants. Le fait que cette dérogation arrive à son terme suscite de ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

Comment se fait-il que Renaissance, qui prétend vouloir faire des compromis, ne permet aucune avancée s'agissant du nombre de nuitées ? À l'article 1er , on fixe le seuil à deux nuitées mais on refuse de faire de même à l'article 2. Il règne une certaine confusion, le progrès enregistré à l'article 1er n'en est pas vraiment un puisqu'en conclusion, le nombre de nuitées minimum sera fixé à trois. Cela me dérange profondément parce qu'au bout du compte, on n'a pas franchi le pas. Par ailleurs, j'aimerais – comme nous tous – disposer de données précises à propos des classes de découverte sur l'ensemble du territoire français. L'éducation ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

En déposant cet amendement, nous voulions diminuer le nombre de nuitées à partir duquel l'enseignant perçoit une indemnité. Je crois que la rédaction initiale de la proposition de loi fixait un minimum de deux nuitées, mais la commission a retenu le seuil de trois nuitées. Nous proposions de fixer ce minimum à une nuitée parce qu'il faut bien comprendre que l'organisation d'une sortie scolaire, d'un voyage scolaire ou d'une classe de découverte, est un véritable projet, qui suppose un travail en amont et en aval. De nombreuses classes ne partent qu'une nuitée ou deux, parce que les familles ont peur de laisser leurs enfants s'en aller plus longtemps. C'est ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

Il vise à substituer aux mots « part fonctionnelle de l'indemnité de suivi et d'accompagnement des élèves » le mot « prime ». En effet, dans sa rédaction actuelle, l'article 2 subordonne à la signature du pacte enseignant le versement d'une indemnité aux professeurs qui organisent et accompagnent un voyage scolaire. Or, en ce jour de manifestation nationale des enseignants pour une école publique de qualité, ils ont clairement exprimé leur refus de ce pacte, chacun d'entre nous l'a compris. Ils refusent en effet le principe selon lequel chaque brique qui compose ce pacte et qui correspond à une activité qu'ils pourraient accepter d'exercer est ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

Nous n'examinons pas une disposition qui requiert la participation financière d'une région pour que l'État puisse débloquer une aide équivalente, mais bien l'inverse : l'État débloque un fonds national pour aider à l'organisation des classes de découverte, et les régions, les départements ou les mairies feront ce qu'elles peuvent. Il est extrêmement grave de proposer un tel amendement. Vous ne pouvez pas soumettre le bénéfice d'une aide nationale au versement d'une aide territoriale qui dépend purement des moyens, voire de la volonté politique, d'une collectivité.

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

Si je comprends bien, vous souhaitez, par cet amendement, conditionner une aide nationale à un versement territorial. Vous êtes en train de territorialiser la loi ! Cela m'inquiète énormément et devrait tous nous inquiéter. On ne peut pas, on ne doit pas réfléchir ainsi.

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Relancer l'organisation des classes de découverte

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Fatiha Keloua Hachi

En ce jour du soixante-dixième anniversaire de l'appel de l'Abbé Pierre, je rappellerai que 550 000 personnes ont basculé sous le seuil de pauvreté en France. Graver dans la loi l'égalité entre tous les enfants pour qu'ils puissent partir au moins une fois en classe de découverte aurait beaucoup plus de poids qu'une circulaire du ministère de l'éducation nationale. Celle du 13 juin n'a pas produit l'effet escompté : les classes ne sont pas plus nombreuses à partir et nous ne disposons toujours pas des chiffres sur les départs en classe de découverte. Ce n'est pas faute d'avoir demandé aux différents rectorats et au ministère de l'éducation nationale. La ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Discussion d'une proposition de loi

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Fatiha Keloua Hachi

C'est pourquoi nous défendrons des amendements pour que tout enseignant qui s'engage dans un projet de classe de découverte puisse recevoir une prime décorrélée de la signature du pacte enseignant. Enfin, nous considérons que favoriser l'accès des enfants aux classes de découverte est absolument essentiel et que chaque avancée permettant un départ en voyages scolaires de tous les enfants est une bonne occasion qu'il nous faut saisir.

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Discussion d'une proposition de loi

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Fatiha Keloua Hachi

Le poser comme condition de cette indemnisation exclurait tous les enseignants qui ne veulent pas souscrire au pacte, et serait un frein supplémentaire à la généralisation des classes de découverte. Ce serait donc contraire à l'objectif de la proposition de loi.

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Intervention en hémicycle le 01/02/2024 : Discussion d'une proposition de loi

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Fatiha Keloua Hachi

Je me réjouis une nouvelle fois, comme en commission, que le sujet des classes de découverte soit inscrit à l'ordre du jour de notre assemblée. Tout d'abord, ces classes de découverte sont non seulement un moment important de la scolarité, mais aussi un moment clé de la vie des jeunes élèves. La proposition de loi nous permet ainsi de nous rappeler que le droit à l'évasion ne peut plus être considéré comme un aspect accessoire de la vie des enfants, mais comme un point fondamental de leur construction. Permettez-moi de citer l'expérience de la jeune Neïla, habitante de Rosny-sous-Bois en Seine-Saint-Denis dans ma circonscription, qui a effectué son ...

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Intervention en hémicycle le 24/01/2024 : Liberté de recourir à l'interruption volontaire de grossesse

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Fatiha Keloua Hachi

Depuis 1974, vous rabâchez la même chose ! Vous décrivez le développement d'un fœtus entre douze et quatorze semaines. Est-ce le lieu pour le faire et est-ce le cœur du présent débat ? Je le répète, je suis inquiète de la dérive de ces débats et je nous invite à nous recentrer que la constitutionnalisation de l'IVG et sur cette seule question.

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Intervention en hémicycle le 24/01/2024 : Liberté de recourir à l'interruption volontaire de grossesse

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Fatiha Keloua Hachi

J'aurais préféré ne pas les citer, mais je le ferai malgré tout. Pendant les débats, un député a dit avec l'assentiment de plusieurs autres que l'avortement était comme la mort des Juifs envoyés dans les camps d'extermination.

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Intervention en hémicycle le 24/01/2024 : Liberté de recourir à l'interruption volontaire de grossesse

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Fatiha Keloua Hachi

Si ces dernières ont été dignes, beaucoup d'hommes ont tenu des propos odieux, dont certains me sont toujours en mémoire.

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