Et la plus longue !
C'est vous qui déclenchez des 49.3 à tout-va !
C'est sûr que ce n'est pas vous qui le feriez !
Je souhaite répondre aux accusations de la ministre, selon lesquelles je ne poserais pas de questions précises. Je sais, pour avoir assisté au lancement de la mission gouvernementale sur les familles monoparentales, que vous avez entendu toutes les alertes lancées par les mères isolées. Je pourrais vous en refaire la liste, mais vous me répondrez que vous devez d'abord procéder à des arbitrages et à des montages budgétaires. Vous n'aurez donc pas de réponse précise à nous apporter. Cela étant, puisque la question du congé parental a été soulevée à juste titre par ma collègue Karine Lebon, je souhaiterais connaître votre position sur la question du congé ...
Il a simplement suivi l'inflation !
Sous peine de perdre son revenu !
Les experts réunis par la table ronde à laquelle nous venons de participer confirment toutes les alertes lancées par les familles monoparentales, qui représentent le quart des familles françaises et subissent des inégalités spécifiques ainsi qu'une très forte précarisation. Je pourrais dresser une liste des mesures revendiquées par les collectifs de mères isolées pour corriger ces inégalités : adaptation du droit fiscal, des prestations sociales et du droit du travail, accès prioritaire au logement social, aux modes de garde et aux services publics… Mais vous les connaissez très bien, et je connais déjà, quant à moi, votre réponse : la mission ...
Vos interventions, les données que vous présentez et votre expertise résonnent avec les témoignages des mères isolées, qu'elles soient organisées en collectifs, en syndicats ou selon d'autres modalités. Elles confirment les éléments que le groupe de travail transpartisan dont je fais partie a recueillis. Vous avez évoqué l'inadaptation de la fiscalité à l'évolution des modèles familiaux, puis des difficultés spécifiques d'accès au droit et d'insertion professionnelles, qui nous invite à réfléchir à la manière dont nous pouvons faire évoluer le droit pour prendre en compte ces spécificités. Des droits spécifiques, adossés au statut de parent ...
Vous prenez des risques en disant cela !
Il faut arrêter la compétition !
Mes questions s'adressent principalement à Mmes les représentantes des parents d'élèves et des organisations syndicales. Je tiens à saluer votre présence et à exprimer mon plaisir de vous voir de nouveau à l'Assemblée, mesdames les représentantes des syndicats, malgré l'accueil scandaleux qui vous a été fait en septembre dernier dans cette même salle, et j'exprime le souhait qu'une page se tourne en matière de mépris. Il est malheureusement permis d'en douter au vu des dernières annonces de coupes budgétaires, sur fond de choc des savoirs, qui ont été reçues très largement comme une nouvelle marque de mépris, aussi bien par les enseignants, à l'instar ...
On connaît la chanson !
Et les retraites !
De la bienveillance ? Vraiment ?
Un peu moins de 49.3 !
Laissez le Parlement voter !
La retraite à 64 ans !
D'intérêt public ? D'intérêt général ?
C'est si compliqué d'utiliser le pluriel ?
À quoi ça sert de dire ça ?
Vous avez un problème avec ça, vous voulez le supprimer ?
et pour faire valoir le droit des femmes à disposer de leur corps. Pourtant, nous estimons nécessaire de rappeler la rédaction initiale de la proposition de loi constitutionnelle que nous avions déposée, signée par 114 sénateurs appartenant à cinq groupes politiques et par tous les députés de quatre groupes politiques, et adoptée le 16 novembre 2022 à l'Assemblée. Le texte visait à élargir et à rendre encore plus effective la garantie du droit des femmes à disposer de leur corps. En effet, il tendait à garantir, à toute personne qui en faisait la demande, l'accès effectif tant à l'interruption volontaire de grossesse qu'à la contraception. La question de ...
Comme de nombreux orateurs avant moi, j'exprime l'émotion qui m'étreint, à l'instant où je prends la parole dans cet hémicycle, alors que nous vivons un moment que nous considérons toutes et tous comme historique. Nous allons adopter un texte historique qui est un texte de compromis. Bien entendu, nous le soutiendrons contre certaines voix qui s'expriment ici, ne serait-ce que pour infliger une défaite au discours antichoix
Les conséquences, c'est quand elles meurent !
C'est vous, l'extrémiste !
Vous êtes communautariste, monsieur Ciotti !
Vous l'avez ou pas, la majorité ?
On a tout de même le droit d'avoir une famille !
C'est bien la première fois que vous vous souciez d'elles !
C'est quoi, votre problème avec les utérus ? Arrêtez avec ce terme, ça commence à bien faire !
Donc c'est vous la victime, c'est ça ?
Vous êtes favorable à la transparence, mais dans les frigos !
Ça va remplir les caddies, c'est sûr !
Votez pour, alors !
En fait, vous voudriez décider du contenu de la niche réservée à notre groupe ?
C'est toi qui le fais, le lit !
Comment pouvez-vous dire cela ? Les passeurs gagnent de l'argent et violent des femmes au passage !
Ne me montrez pas du doigt !
Ah, quel courage !
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu !
Des hommages, mais pas d'argent !
Voilà ! Vous faites applaudir l'enseignement agricole et, l'instant d'après, vous êtes défavorable aux amendements.
Vous saluez, mais ça s'arrête là !
Lâchez-vous, vous êtes ministre de l'éducation nationale maintenant !
Pouvez-vous au moins donner une raison ? Pouvez-vous, pour les infirmières scolaires, justifier ces avis défavorables ?