La France, ce n'est pas que Paris !
Ça ne marche pas !
Alors ce n'est pas d'administratifs supplémentaires dont les établissements ont besoin mais d'une valorisation de ces si beaux métiers, de recrutements massifs et d'investissements majeurs pour accompagner ceux qui ont besoin de nous après avoir tant donné à la France. Alors, madame la Première ministre, quand allez-vous enfin faire du grand âge l'une de vos priorités.
Nous devons tous nous sentir concernés car toutes les familles peuvent être confrontées à des difficultés. Encore hier, la Défenseure des droits a indiqué dans son dernier rapport qu'aucune réponse concrète n'avait été apportée à la suite des révélations faites lors du scandale qui a éclaté il y a un an.
Ils s'occupent des plus fragiles au quotidien, en donnant toute leur énergie pour soulager les souffrances et parfois la solitude. Je ne compte plus les témoignages d'animateurs, d'aides-soignants, d'infirmiers, de membres d'associations ou encore de directeurs d'établissements. Ils me font part d'une réelle détresse face à leur difficulté à continuer à exercer leur mission avec humanité. Nos grands-parents, nos parents méritent que le Gouvernement prenne toute la mesure de l'enjeu d'une politique d'ampleur sur ce sujet.
Il n'est pas admissible que tous soient aussi oubliés, que nos soignants soient autant malmenés car leur métier est un beau et noble métier.
La situation de nos aînés préoccupe toutes nos familles mais également tous les personnels qui ont à cœur de les accompagner avec bienveillance et empathie.
…évoquée par le Président de la République en 2018, il y a déjà cinq ans, tellement attendue mais restée lettre morte.
Madame la Première ministre, depuis des semaines, vous évoquez la réforme des retraites, mais vous préoccupez-vous vraiment du bien-être de nos aînés ? En vous posant cette question, je veux parler de la fameuse loi sur le grand âge,…
Elles l'ont fait !
Venez les voir !
Venez les voir !
Votre réponse est trop légère, monsieur le ministre délégué.
Alors, qu'est-ce qu'on fait ?
Ils l'ont fait !
Monsieur le ministre délégué, les maraîchers et les horticulteurs éprouvent un véritable sentiment de ras-le-bol. Pouvez-vous leur garantir que, demain, la pérennité de leur entreprise sera assurée ?
Le Maine-et-Loire est une terre horticole et maraîchère : or nos producteurs sont frappés de plein fouet par la hausse du coût de l'énergie. En effet, ces activités nécessitent l'usage de quantités très importantes de gaz et d'électricité tant pour la production que pour la conservation des productions. Les horticulteurs et les maraîchers doivent chauffer leurs serres pour faire grandir nos fleurs, nos plants et nos légumes. Ce sont des acteurs incontournables de notre souveraineté alimentaire. Quasiment tous ont été obligés de décaler la culture de certaines variétés ; certains gardent même des serres totalement vides en espérant économiser ainsi de ...
Oh, écrasante… N'exagérons pas.
Ça, c'est sûr !
De fait, les amendements de nos collègues mettraient en difficulté nos filières d'élevage, car ils conduiraient à interdire le grillage électrique. Il conviendrait d'apporter des précisions sur les animaux visés par le texte car, outre les chiens militaires, les chiens de chasse pourraient être concernés.
Intervention uniquement disponible en vidéo.Consulter la vidéo en cliquant sur la miniature
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Ça ne fonctionne pas.
Bravo !
Il a raison !
Il a raison !
Ce n'est pas la même chose !
Il a raison, c'est exactement ça !
Il y a un rappel au règlement, madame la présidente !
Allez, c'est bon, on a compris !
Alors laissez-le se tenir !
Vous laissez croire à tout le monde que seul votre avis refléterait celui des Français ; eh bien, non ! Plusieurs députés ont déposé des amendements sur ce texte ; nous demandons simplement de les examiner et de les soumettre au vote, afin d'entendre les arguments des uns et des autres et de savoir si vous représentez vraiment les Français. Or la commission des lois s'est exprimée et a adopté les amendements de suppression. Vous avez peur que votre texte soit une nouvelle fois mis en échec.
Pendant une semaine, les députés qui se sont élevés contre votre texte ont été invectivés et insultés ; ils s'en sont pris plein la figure, simplement parce que vous ne voulez pas que nous exprimions un avis différent. Le déni de démocratie auquel nous assistons est scandaleux ! Vous interrompez la discussion générale juste avant que nous puissions émettre un avis différent.
Nous avons débattu la semaine dernière en commission des lois, argument contre argument.
Il se fonde sur le même article que celui de Mme Ménard, relatif à la bonne tenue des débats. Monsieur le rapporteur, vous fuyez le débat, vous en avez peur !
C'est notre liberté !
En accord avec la Macronie !
Ce sera la troisième !
C'est votre décision !
C'est du pipeau, un mauvais jeu d'acteur !
Arrête ton show, on veut débattre !