Y a qu'à, faut qu'on !
Assumez votre soutien à Poutine ! Votre créancier !
Vous auriez quand même pu travailler un peu le sujet !
Vous auriez préféré vous coucher devant Poutine !
Votre ami Poutine !
Ce n'est pas vrai, vous mentez !
Ce n'est pas grâce à vous, c'est nous qui avons voté ces lois !
La porte-parole de Poutine !
Il faudrait mettre vos limites, peut-être ?
Ce sont exactement les termes de l'accord !
Très bien !
Un mot pour les otages ?
Dites aussi ce que fait le Hamas !
N'importe quoi !
Très bien, monsieur Kasbarian !
C'est ça, la démocratie.
Vous êtes au RN et vous dites ça ? Savez-vous d'où vous parlez, tout de même ?
Très bien, monsieur Potier !
Vous devriez vous couvrir la tête de cendres !
Non ! Assumez !
Ce n'est pas en lien avec l'amendement !
Cet amendement tout simple et de bon sens résulte d'une réflexion menée avec l'association des anciens maires du Cher, notamment son président, Pierre-Étienne Goffinet. Il se trouve qu'un ancien élu peut être pris à partie, voire violenté, pour des décisions qu'il a prises durant son mandat. Il peut s'agir d'un refus de permis de construire, de l'exclusion d'un enfant violent d'une cantine… – nous avons tous maints exemples en tête, hélas. Nous proposons donc, par cet amendement, que les anciens élus bénéficient de la protection fonctionnelle après l'expiration de leur mandat. Je remercie le ministre Béchu, Mme Violette Spillebout et Thomas ...
Très bien !
Aucun mot sur les otages !
C'est un copier-coller de Le Pen. Vous vous êtes trompé de discours !
Quant à vous, vous les avez abandonnés !
Ce sont vos attachés parlementaires qui vous ont dit ça ?
Vous voulez vendre la France à Poutine !
Le retour des islamo-gauchistes !
Vous avez oublié de citer la patronne !
Tu racontes n'importe quoi !
C'est faux !
Vous avez manqué de respect à Mme la ministre déléguée.
Je fais de la politique, c'est différent !
Pas très élégant !
Quel rapport ?
Oh là là !
…à l'Autorité palestinienne ?
Madame la ministre déléguée chargée du renouveau démocratique, quels moyens la France met-elle en œuvre pour contrôler les fonds qu'elle alloue…
Je conclus, madame la présidente. Tel est le sens de la proposition de résolution que nous avons déposée, à l'initiative de notre collègue Caroline Yadan.
Nos voisins européens, comme le Royaume-Uni, la Norvège et la Belgique, ont mis un terme aux financements destinés à l'Autorité palestinienne dans le domaine de l'éducation. La France doit soutenir la jeunesse palestinienne ; elle ne peut donc pas cautionner la propagande et l'endoctrinement de l'Autorité palestinienne. Pour pacifier la région à long terme, une réforme éducative globale des programmes scolaires est une nécessité absolue. Nos financements doivent être subordonnés à la suppression effective de toute référence à une forme de discrimination, d'antisémitisme et d'incitation à la haine ou la violence envers le voisin israélien.
Les enfants palestiniens sont victimes d'une politique d'endoctrinement qui vise à attiser et à ancrer en eux de façon pérenne la haine de leurs voisins israéliens. Or, comme tous les enfants du monde, ils bénéficient du droit le plus élémentaire à l'éducation, premier vecteur d'émancipation. Républicains, démocrates, humanistes, Français, nous avons le devoir de nous assurer que les valeurs transmises aux jeunes Palestiniens sont en accord avec les valeurs des droits de l'homme. Notre devoir est non seulement de sanctionner avec la plus grande sévérité les dirigeants du Hamas, mais aussi de traiter à la racine la gangrène qu'est ...
L'école laïque et républicaine permet d'assurer aux élèves de France une éducation humaniste qui leur permet de penser en citoyens républicains. Je le dis avec force, la jeunesse palestinienne a le droit, elle aussi, à une telle instruction humaniste. Or, en Palestine, dans toutes les matières enseignées, les manuels – que l'on ne peut, hélas ! pas qualifier de scolaires ou de pédagogiques – incitent les élèves de tous âges à la violence et à l'antisémitisme, allant jusqu'à glorifier les actes terroristes, perçus comme l'unique voie à suivre. Voilà la triste réalité ! Je citerai deux exemples. Premièrement, un manuel de sciences ...