C'est clair !
C'est l'argument qu'on utilise quand on n'en a plus !
Vous n'avez pas honte !
Ce n'est pas cela qui explique la diminution des moyens alloués aux soins palliatifs !
Qu'est-ce que ça vaut, ça ?
Le 49.3, ça vous dit quelque chose ?
Il ne faut pas leur mentir, alors !
Il n'a pas dit le contraire !
N'importe quoi ! Ce n'est pas un très bon avocat du texte !
Vous auriez pu l'annoncer dès vingt heures !
Ça faisait longtemps !
Sérieusement, regardez les chiffres !
Vous avez du boulot !
Dérapage dû à votre gestion !
Pas plus ambitieux : plus sérieux !
Ne vous inquiétez pas, madame la présidente, il va continuer !
Il faut écouter ce qui se dit dans l'hémicycle !
Mieux vaut ne pas avoir de soutien que des soutiens comme cela !
Ce n'est pas ce que vous dites quand c'est l'opposition qui les demande !
Quelle solidarité gouvernementale !
Si nous avions voulu faire de l'obstruction, le texte n'aurait pas été adopté !
Honnêtement, c'est décevant. Je pensais que vous défendriez le texte bec et ongles. Tel n'a pas été le cas. Je peux vous garantir que, dans les jours qui viennent, vous aurez des comptes à rendre à la protection civile du Var.
Ne vous inquiétez pas, il y aura quand même un vote. Je voudrais néanmoins rappeler certaines vérités. J'ai en main une intervention rédigée, preuve que nous avions prévu d'aller au bout du texte. Malheureusement, monsieur le rapporteur, je vais devoir la jeter. J'étais parti du principe que vous vous opposeriez aux amendements de suppression du Gouvernement ; malgré ce que j'avais dit au début de la séance, j'espérais que vous défendriez le texte dans son intégralité. Vous ne l'avez pas fait. Quand nous avons été saisis par la protection civile du Var, qui a rédigé le texte de loi avec vous, elle nous a dit souhaiter que le texte soit voté tel ...
Comme par hasard !
Nous sommes censés œuvrer pour l'intérêt général, et ne pas nous enferrer dans des logiques de politique politicienne. La démarche transpartisane que vous aviez engagée s'est retrouvée enterrée lorsque vous avez retiré nos signatures de cette proposition de loi. Comment pouvez-vous affirmer agir pour l'intérêt général quand vous excluez une partie de vos collègues d'une proposition au sujet si consensuel ? Vous n'êtes pas propriétaire de ce texte : les associations de sécurité civile qui ont travaillé avec vous nous avaient expressément demandé de le cosigner. Avez-vous évoqué le retrait de nos signatures avec elles ? Non, en bon sectaire, ...
L'article 1er crée les conditions d'un engagement déontologique de la part des associations agréées de sécurité civile. Nous ne pouvons qu'approuver une telle démarche, qui permettra de fixer un cadre reposant sur les valeurs et les principes essentiels de la sécurité civile. Monsieur le rapporteur, nous nous connaissons depuis de nombreuses années et je vous parlerai donc en toute franchise. Je m'interroge sur l'opportunité de créer une charte similaire pour les parlementaires. Cela éviterait peut-être à certains d'entre eux de faire preuve de sectarisme, par exemple en retirant d'une proposition de loi des signatures qui avaient été approuvées, le ...
Excellent !
Je ne m'adressais pas à vous, madame la présidente !
Vous savez très bien lesquels ; je n'y reviendrai pas. Le sujet est totalement hors débat et, si l'on se penchait sur le passé de certains députés de la NUPES, ils ne parleraient pas autant.
Des propos déplacés ont été tenus sur les bancs de la NUPES.
Il se fonde sur l'article 70, alinéa 3 du règlement. Je ferai vite, afin que vous ne soyez pas aigrie vendredi.
Madame la présidente, il n'est pas acceptable que l'on soit mis en cause de la sorte ! Je suis député comme lui !
C'est indigne de la gauche !
Il faut croire que ça se passe comme ça à la NUPES !
Il n'a pas mis son keffieh aujourd'hui !
Ah ! Le Conseil constitutionnel n'a pas dégagé cette disposition ?
C'est ridicule !
Mme K/Bidi a indiqué que le groupe GDR s'abstiendra !