Ça donne envie !
Ça dépend pour qui !
On va le nommer à Bercy, alors ?
Il va gagner une médaille en chocolat.
Mais oui, bien sûr !
Qui est responsable de la crise de 1929 ? Qui ?
Qui est responsable du réchauffement climatique ? Qui ?
Qui pratique la sorcellerie ? Qui ?
Ils s'en fichent aussi !
Ils s'en fichent !
Il n'y a pas de quoi être fier !
Vous avez un bilan prospectif très impressionnant !
Vous avez tout de même un petit passif en la matière !
Vous dévoyez le service minimum pour en faire un service normal !
Le service minimum, ce n'est pas censé être un service normal !
C'est bien de le préciser !
Mais oui, évitons les procès d'intention !
Eh oui, le spectacle doit continuer !
Quel malheur !
Eh oui, c'est ainsi !
Ce n'est pas un jeu !
Ça ne vole pas haut !
C'est ça, regardez-vous ! Vous tracez la voie aux fachos !
On dirait une mauvaise disserte de Sciences Po…
On ne doit pas fréquenter les mêmes Français !
Merci, mon bon seigneur, merci !
Ils s'en foutent aussi !
Ils s'en foutent !
C'est la démocratie !
…a reçu M. Kretinsky et a donné le feu vert à la direction d'Atos pour réaliser l'opération. L'Élysée a donc donné son aval. C'est parce que la presse s'en est mêlée et que des milieux militaires et civils s'en sont émus que le sujet apparaît au grand jour. Nous ne croyons pas à vos discours, monsieur le rapporteur général et monsieur le ministre délégué. Vous affirmez qu'il existe des outils pour couper court à ce type de manœuvre. Qu'attendez-vous pour les employer ? Il suffit de signer un décret : vous l'avez fait pour Carrefour dans la grande distribution, mais vous semblez incapables d'en faire de même pour des actifs stratégiques dans un ...
Il n'est pas identique au précédent, qui proposait une nationalisation totale mais provisoire d'Atos. Pour notre part, nous souhaitons que l'État exerce un droit de préemption définitif dans le cadre de l'opération que mène EP Equity Investment, fonds dirigé par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, sur Atos. Nous défendons la vision d'un État stratège à l'égard d'une entreprise qui détient des équipements informatiques stratégiques pour la nation, ainsi que des applications et des données de haute sécurité – FranceConnect, carte Vitale, impôts, etc. Tout ne peut pas être soumis au marché et au business. Quant aux explications de M. le ...
Et sur les ventes d'armes au Qatar ?
Vous n'en avez pas marre de jouer ce rôle ?
Lamentable !
Ouvrez un manuel de droit constitutionnel !
Tellement hors sol !
Vous, vous voulez rire !
C'était bien, mais la discussion est finie !
Je me demande bien ce qu'elle va dire !
Cet article n'est lui non plus pas très sérieux, les investissements prévus n'étant pas à la hauteur. Je me pencherai en particulier sur le volet numérique. Nous sommes vraiment très loin du compte. Il ne vous a pourtant pas échappé, monsieur le ministre délégué, que les établissements de santé, y compris les établissements médico-sociaux, font l'objet de cyberattaques récurrentes visant à les rançonner sous la menace de rendre publiques les données médicales de leurs patients ou de nuire à leur bon fonctionnement. Il semble que le Gouvernement se contente de croiser les doigts en espérant très fort qu'aucun problème majeur ne survienne. ...
En effet, monsieur le ministre délégué, vous êtes bien seul sur le banc des ministres : vous y faites office de gardien des courants d'air, mais aussi de la mauvaise foi, à soutenir que le 31 décembre à minuit, faute de budget, tout s'éteindrait. Premièrement, vous n'ignorez pas que nous attendons le 49.3, grâce auquel la Constitution vous permet de faire passer un texte en force. Deuxièmement, je vous invite à relire l'article 47-1 de cette même Constitution : faute de vote du Parlement, les dispositions des PLFSS « peuvent être mises en œuvre par ordonnance ». N'importe quel manuel de droit constitutionnel à destination des étudiants de première ...
Je suis bien certain, chers collègues, que vous visitez les établissements de santé de votre circonscription, que vous discutez avec les soignants, que vous leur témoignez de la compassion ; essayez donc de leur expliquer que plutôt que d'améliorer leur quotidien, de leur donner les moyens de fonctionner, vous préférez, sur le dos du système, servir à des rentiers les intérêts qu'ils exigent !
Si je comprends bien, à l'exception du Gouvernement et d'une poignée de députés, tout le monde ici estime cet Ondam insuffisant. Il ne suit pas l'inflation : ce n'est vraiment pas sérieux. Mme Rist a parlé tout à l'heure de faire rouler la dette, d'en reporter les charges ; lorsqu'il s'agit de fixer aux obligations d'État un taux d'intérêt au moins égal à l'inflation, afin de préserver la rente de ceux que vous exonérez d'impôts en leur donnant la possibilité de prêter de l'argent à l'État, cela ne pose pas de problème !
Mais oui, c'est ça !
N'importe quoi ! Ce n'est pas comme ça que ça marche ! Reprenez vos cours de droit constitutionnel !
Ah, vous avez remarqué ?