Vous faites pareil quand ça vous arrange !
C'est pourtant ce que vous dites !
S'agissant des accords de libre-échange, nous pouvons distinguer la position des différents gouvernements qui se sont succédé depuis quarante ans de celle des Français. La classe politique, abreuvée à l'idéologie du libre-échange, a imposé au peuple français, contre sa volonté, la conclusion d'accords avec des pays du monde entier mettant en concurrence notre agriculture et notre industrie avec des pays n'ayant pas les mêmes standards sociaux et économiques. Ces accords, c'est un fait, ont participé à la destruction de notre appareil productif. Non content des résultats catastrophiques de notre balance commerciale, ce gouvernement souhaite imposer par ...
Mais ça suffit !
La Marseillaise, ça vous écorche la gorge !
Vous marchez dessus tous les jours !
C'est reparti, le prof d'histoire !
Le solde est déjà négatif !
Alors on est prisonniers ?
Vous parlez au nom de qui ?
Quel est le rapport avec le texte ?
Elle est déjà affaiblie !
Nous ne sacrifions rien !
Cela n'a rien à voir !
C'est très pratique !
Dénoncez l'accord dans ce cas !
Vous menacez la France !
Vous rigolez ?
Cet accord va tomber, il est obsolète !
Ce n'est donc pas un petit propriétaire : c'est un grand propriétaire !
ou dont le compte est fermé. Attaquez-vous à toutes les discriminations. Où est la banque du financement de la vie politique promise par Macron ? Voilà une discrimination !
Par exemple, celle envers les élus jugés un peu trop à droite, qui se voient refuser l'ouverture d'un compte pour leur campagne électorale
Monsieur Taché, quitte à ouvrir le débat sur les discriminations, ouvrons-le complètement. Certaines discriminations semblent vous arranger : vous parlez de la discrimination dans l'accès au logement, mais vous vous asseyez sur la discrimination bancaire.
L'Espagne était libre avant la dictature !
Nos compatriotes rejettent massivement les institutions européennes, qui agissent de façon autoritaire et souvent à l'encontre de leur intérêt. Il est donc temps que cela cesse. Par cet amendement, nous rappelons que le Rassemblement national ambitionne de transformer l'Union européenne, ensemble technocratique dont l'orientation est fédérale, en une alliance des nations fondée sur le respect des souverainetés nationales ainsi que sur des coopérations librement choisies par les peuples. Contrairement à ce que disait M. Petit, le processus européen n'est pas inéluctable.
Nos amendements l'ont montré, nous sommes profondément attachés à la consultation directe des citoyens par référendum, afin de donner la parole au peuple français – nous l'avons assez répété. L'amendement n° 46 propose la mise en œuvre d'une véritable initiative législative citoyenne au sein de l'Union européenne. Ce qui peut paraître une bonne idée constitue en réalité un grave danger pour notre souveraineté. Dans le cadre d'une telle initiative, le peuple français pourrait se retrouver en minorité par rapport aux peuples des différents États membres – par exemple sur la question du nucléaire. Ne laissons pas à d'autres peuples que le nôtre ...
Et quand on n'arrive pas à convaincre, on s'écrase !
Je remercie Mme Soudais de nous avoir rappelé que tout ce qui était à droite du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) était d'extrême droite. Vous l'aurez compris, le Rassemblement national ne souscrit ni au format ni aux conclusions de la Conférence sur l'avenir de l'Europe. Nous avons d'ailleurs été les seuls à demander, par un amendement déposé au Parlement européen, que toute réforme des traités soit soumise à un référendum. Toutes les forces politiques représentées ici, par peur de donner la parole aux Français, ont voté contre. C'est pourquoi nous proposons, par le présent amendement, de rejeter le travail non représentatif et ...
L'une des conclusions de la conférence pour l'avenir de l'Europe est « la nécessité de mener des politiques plus concrètes et plus écologiques au niveau européen, dans la lignée du travail entamé sur le Pacte vert pour l'Europe ». Certes, nous devons mener une politique de décarbonation de notre économie mais nous refusons de céder aux sirènes de la décroissance. Nous rejetons résolument la réduction forcée et mortifère de nos capacités de production agricole et industrielle qu'exige l'Union européenne. Nous combattons ainsi le biais antinucléaire adopté par certains gouvernements et institutions de l'Union européenne car il nous mène droit dans le ...
Parmi les conclusions de la Conférence sur l'avenir de l'Europe, certaines propositions bafouent notre souveraineté ; nos compatriotes y seraient farouchement opposés si vous leur demandiez leur avis. Ah oui, c'est vrai : si vous le leur demandiez réellement. On peut rêver qu'un jour, le peuple soit consulté ! Permettez-moi d'en citer quelques-unes : la suppression de l'unanimité, qui permettrait d'imposer des décisions à la France dans de nombreux domaines ; la création d'une armée européenne ; la gestion des migrations par l'Europe ; la transformation de la Commission européenne en pouvoir exécutif, exercé par un président. Les conclusions de ce ...
Nous allons nous répéter, mais c'est parce que vous ne nous entendez pas. Cette conférence sur l'avenir de l'Europe, faisant appel à des panels européens et nationaux, des consultations en ligne et divers événements, a recueilli les avis d'environ 700 000 personnes. Cela parait beaucoup, mais ce n'est que 0,15 % de la population des États de l'Union européenne. Vous voulez faire l'Europe autrement, mais ce n'est pas une raison pour mal faire, madame la secrétaire d'État, et sur de mauvaises bases. Même un vote pour sauver un candidat de la « Star Academy » est plus représentatif que cette consultation – si vous me permettez la comparaison. C'est donc 0,15 ...
Nous ne voulons pas d'une fédération !
Votre mépris, vous pouvez vous le garder !
Cela nous empêche de choisir notre électricité !
Le problème, c'est que vous transcrivez leur avis dans la loi !
Comme c'est étonnant !
C'est ce que nous disons !
Vous pouvez donc garder vos leçons de démocratie pour vous. Pourquoi votre gouvernement refuse-t-il sans cesse de donner la parole aux Français ? Par cet amendement, nous souhaitons que l'article 3 de la Constitution soit le premier des textes sur lesquels se fonde la proposition de résolution européenne qui nous est soumise.
Pire, les Français n'ont pas été consultés par référendum depuis la victoire du « non » en 2005.
L'article 3 de notre Constitution dispose que « la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Cette mascarade sur l'avenir de l'Europe et le texte que nous examinons aujourd'hui méconnaissent ce principe fondamental de notre République. Il est inacceptable que des consultations sans valeur légale ni légitimité démocratique se substituent au suffrage des Français qui élisent leurs représentants.
Mais ils n'en veulent pas !
Mais c'est un très faible pourcentage !
On parle de la France, pas de la Hongrie !