Ils sont dans la majorité maintenant !
C'est une motion de censure !
Et pourtant vous allez le soutenir !
Après Caligula, Les noces barbares !
Que de verbiage !
Quelle autorité !
Il ne faut pas faire de wokisme !
Lors de son audition, M. Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, a souligné les risques concernant les dépenses engagées par le recours important aux prestataires extérieurs affectés à des missions de maintien ou de renforcement de la sécurité. C'est pourquoi cet amendement vise à insérer dans la demande de rapport le coût engendré par les prestataires extérieurs affectés à des missions de sécurité.
Au-delà du prix indécent des billets, de nombreux Français se demandent combien les Jeux vous coûter et combien ils vont rapporter à notre économie. Afin que le rapport de la Cour des comptes soit le plus précis possible, l'amendement vise donc à clarifier la notion de « coût », trop évasive et trop peu concrète, en mentionnant clairement « les dépenses publiques, y compris les dépenses fiscales et les recettes publiques ».
L'amendement AC49 a pour objet de garantir que les données et renseignements, y compris nominatifs, pourront être communiqués par les agents de l'Agence française de lutte contre le dopage et les autorités judiciaires et administratives de l'État et de la Polynésie française uniquement pendant la période des jeux Olympiques et Paralympiques. L'amendement AC175 vise à garantir que le dispositif sera appliqué pendant la seule période des Jeux.
L'amendement AC48 vise à s'assurer que le laboratoire accrédité par l'AMA pourra procéder à des contrôles pendant la durée des JOP, soit jusqu'au 11 septembre 2024 seulement.
L'amendement AC174 vise à affirmer le caractère expérimental de l'examen des caractéristiques génétiques. Selon le Conseil d'État, de tels procédés dérogent en effet aux dispositions du code civil et aux dispositions législatives en matière de bioéthique. Ils doivent donc être utilisés dans le cadre d'une expérimentation qui n'excède pas la durée des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024.
Abandonnés et trahis depuis six ans par votre gouvernement, ils font massivement confiance à Marine Le Pen pour rester français. Avec nous, Mayotte est française et le restera à jamais !
…qui subissent les meurtres à la machette, les attaques de bus scolaires et le communautarisme sauvage ? Le cœur des Mahorais bat au rythme de La Marseillaise ; leur sang n'est pas rouge : il est bleu, blanc, rouge !
Une bonne fois pour toutes, allez-vous entendre les cris d'alarme du peuple français à Mayotte ? Allez-vous protéger ce département français de la submersion migratoire et de la disparition ? Allez-vous rétablir l'ordre et la paix pour nos compatriotes,…
Votre réponse est à l'image de votre politique pénale : lamentable !
certains juges osent parler de « chasse aux sans-papiers » et de « tout répressif », allant jusqu'à affirmer que la politique pénale est décidée par le ministère de l'intérieur. Monsieur le ministre, devant la représentation nationale, pouvez-vous condamner clairement les déclarations antirépublicaines du Syndicat de la magistrature et garantir que la loi de la République s'applique partout, et en toutes circonstances, sur l'ensemble du territoire national ?
…a dénoncé le lien, pourtant officiel, avéré et documenté entre l'ultraviolence et l'immigration. Alors que M. Darmanin s'apprête à lancer une nouvelle opération de communication pour décaser les clandestins ,
Ma question s'adresse à M. Éric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la justice. Monsieur le ministre, dans un récent communiqué, la section régionale mahoraise du Syndicat de la magistrature (SM) a exprimé son rejet des lois de la République qui permettent de lutter contre l'immigration clandestine. Au mépris de la sécurité de nos compatriotes mahorais confrontés à une criminalité record et à la submersion comorienne, ce syndicat d'extrême gauche…
…sur un sujet rassembleur et stimulant. Nous l'avons dit et nous en avions parlé en commission avec le rapporteur : ce texte, ce n'est pas la panacée ; il ne va pas tout régler. Il constitue cependant une avancée significative, qui doit aussi aider ceux qui se trouvent en première ligne, à savoir les parents, à se responsabiliser et à responsabiliser leurs enfants, à les éduquer aux nouveaux usages du numérique, à les surveiller pour éviter le pire, sur ces réseaux qui peuvent en effet produire le meilleur comme le pire. Quoi qu'il en soit, nous sommes fiers de participer à cette avancée, aussi modeste soit-elle.
Ça fait du bien d'avoir ce genre de débats ! On avait oublié qu'il était possible d'avoir des discussions apaisées dans l'hémicycle,…
Cet amendement de ma collègue Caroline Parmentier propose de compléter le rapport prévu à l'article 4 par « des recommandations visant à lutter contre l'addiction des jeunes aux plateformes ». De telles recommandations permettraient d'aider les parents et de protéger les jeunes de comportements addictifs qui ont des conséquences sur leur santé, leur sociabilité et leurs résultats scolaires – nous l'avons déjà longuement évoqué.
Je défends ces deux amendements pour mon collègue Laurent Jacobelli. Les réseaux sociaux sont, en théorie, interdits aux moins de 13 ans. Néanmoins, 93 % des enfants de 12 ans ont un compte sur un réseau social. Encore plus inquiétant, les très jeunes sont également de plus en plus connectés : 18 % des 6-7 ans et 41 % des 8-11 ans sont inscrits sur un ou plusieurs réseaux. Ces chiffres ne cessent de progresser et ils doivent nous interroger. Les dangers sont réels et bien documentés : temps d'exposition aux écrans trop élevé, perte de concentration, cyberharcèlement. Si la proposition de loi cherche à y répondre, elle omet d'aborder la collecte de données ...
Les collaborateurs ne sont pas nos parents !
Depuis une vingtaine d'années, les réseaux sociaux ont envahi nos vies et conquis notre quotidien, quelquefois pour le meilleur, il est vrai – l'accès illimité à l'information, la communication facile pour tous ou encore l'ouverture au monde –, et quelquefois pour le pire – la haine et la violence. Cette haine et cette violence sont le quotidien de certains jeunes, parfois très jeunes, qui la subissent de plein fouet et y sont confrontés de plus en plus tôt. Il ne s'agit pas de donner des leçons de morale ni de vouloir un monde qui n'existe pas, mais plutôt de souligner un certain manque de discernement des parents qui n'évaluent pas à sa juste mesure, ...
Ah, ça faisait longtemps !
Allez vous reposer !
L'argument massue !
Vous n'êtes pas en examen, vous ?
Vous êtes indécent !
Il n'y a pas d'un côté les étudiants qui réussissent dans la filière générale, et de l'autre ceux qui ne sont rien dans la filière professionnelle, comme voudrait le faire croire le tristement célèbre clivage macroniste. La réformette consistant à augmenter le temps de stage d'au moins 50 % est une fausse bonne idée. En effet, les élèves de lycée professionnel trouvent déjà très difficilement un stage : c'est même une source de stress permanente. Il est donc fort probable que les entreprises ne puissent pas répondre à la hausse de la demande. On peut également s'interroger sur l'efficacité des stages, car les entreprises manquent souvent du temps et du ...
Avec vous, on peut être anxieux, oui !
Celle qui fait trembler la Chine !
Vous vous cherchez une place dans le Gouvernement après le remaniement ?
C'est aux députés Renaissance que vous parlez !
Nous sommes très favorables à l'amendement. Le lien entre les deux formes de harcèlement justifie la fusion des numéros qui est de nature à faciliter la communication et la sensibilisation du public. J'en profite pour saluer l'action de l'association e-Enfance qui lutte contre le cyberharcèlement, association au profit de laquelle nous avions récolté 35 000 euros à l'occasion d'un match caritatif que certains députés avaient choisi, je le regrette, de boycotter.
L'amendement AC24 tend à remplacer la notion de bien-être – très confuse, comme l'a dit mon collègue Chudeau – par celle, bien plus concrète, de santé physique. Cette dernière est affectée chez certains jeunes sous l'emprise des réseaux sociaux, alors que, selon l'Organisation mondiale de la santé, 87 % des jeunes Français ont une activité physique inférieure au minimum recommandé d'une heure par jour, et que la crise sanitaire a aggravé la situation. L'amendement AC23 vise à ajouter à la notion de santé physique celle de niveau scolaire, un paramètre sur lequel l'impact des réseaux sociaux est avéré : cela procurerait un instrument de mesure ou, en ...
Depuis une vingtaine d'années, les réseaux sociaux ont envahi nos vies, parfois pour le meilleur – l'information, la communication et l'ouverture au monde – et parfois pour le pire quand la haine et la violence sont subies de plein fouet par les mineurs, les jeunes et parfois les très jeunes. À ce titre, rappelons que 93 % des enfants de 12 ans détiennent un compte sur un réseau social. Si les parents exerçaient un contrôle plus strict, notamment avant l'âge minimum d'inscription de 13 ans, nombre de jeunes seraient protégés des dangers que représentent les réseaux sociaux, les contenus pornographiques, les défis stupides et dangereux, ainsi que le ...
Ouvrez des classes dans la ruralité !
Le premier pays d'accueil tout court !
La souveraineté européenne, ça n'existe pas !
La précarité étudiante est une honte nationale. D'après l'enquête de COP1-Solidarités étudiantes publiée en octobre 2022, 56 % des étudiants admettent ne pas manger à leur faim. Si le repas à 1 euro était nécessaire pendant la crise du covid, ce dispositif ne doit pas conduire à toucher à la qualité des produits proposés. Des étudiants ont alerté le Crous à plusieurs reprises. À Rennes, ils ont dénoncé, photographies à l'appui, la qualité de leur repas, en plus des portions drastiquement réduites. Dans une faculté de la région parisienne, on a pu voir un sandwich avec trois feuilles de salade. Plusieurs témoignages d'étudiants attestent la ...