Pour corriger votre affirmation, nous proposons bien que seul le trader dont la rémunération fixe est supérieure à 4 000 euros brut ne puisse pas être concerné par l'article 12, et non l'inverse.
Nous nous opposons fermement à l'article 12, qui vise à élargir le champ de l'article L. 511-84-1 du code monétaire et financier et a ainsi vocation à créer de nouvelles exemptions au code du travail, privant des salariés de leurs droits. Nous défendons l'application d'un seul code du travail, protégeant tous les salariés sans distinction. À ce titre, nous rejetons ces dispositions visant à faciliter les licenciements, qui sont parfaitement indéfendables lorsqu'elles concernent des salariés percevant des rémunérations modestes ou moyennes, qui se retrouvent alors exposés à des licenciements abusifs sans pouvoir faire valoir leurs droits. Nous préférons ...
Tout à fait !
D'ailleurs, l'AMF rappelle régulièrement que les sociétés cotées doivent informer correctement les investisseurs des conséquences des opérations reposant sur la dilution du capital ; elle signale également une recrudescence des signalements et réclamations émanant de particuliers qui ont perdu dans de telles opérations de financement une partie significative de leurs investissements. Soustraire des procédés risqués, dangereux, au garde-fou que constitue leur contrôle par l'AMF serait donc irresponsable.
…ceux qui ont le moins à perdre à de telles opérations.
Non, monsieur le président, puisque vous portez la mienne ! Je ne vous l'aurais certes pas prêtée en raison de votre appartenance politique, mais par égard pour vos fonctions, que je respecte énormément, je ne pouvais pas vous laisser sans cravate… Quant à l'amendement, il est identique au précédent. Cet article faciliterait les opérations financières aux dépens des petits actionnaires, puisqu'il permettrait à la direction d'une entreprise de décider des conditions d'émission des titres, au lieu que ces conditions soient fixées par décret après consultation de l'AMF. Cela reviendrait à retirer à celle-ci son mandat de contrôle des augmentations de ...
Incroyable !
Nous demandons la libération de tous les otages tous les dimanches dans les manifestations pour la paix !
Ouf ! On commençait à avoir les oreilles qui saignent !
Exactement !
Et pour la pauvreté, on est cinquième aussi ?
Forcément, chaque mois vous radiez les demandeurs d'emploi par milliers !
Sansu Premier ministre !
Vous faites la même chose !
On dirait des paroles du Rassemblement national !
Plus que vous !
Eh oui ! Instruisez-vous un peu !
Votez pour les AESH !
Il a réussi à citer Marine Le Pen !
Leur travail et leur rémunération sont très précaires. On a besoin de vous pour revaloriser leur salaire et leur temps de travail.
Moi, je n'ai pas écrit mon discours, mais je vous explique qu'à chaque fois que je vais les voir, quel que soit l'école ou le collège, les AESH me décrivent la même situation : elles sont abandonnées par l'État, leurs salaires sont très précaires et elles n'ont aucune solution pour s'occuper réellement des enfants pris en charge par notre république. Donc s'il vous plaît, madame la ministre, je vous demande juste une chose : de créer un corps de fonctionnaires de catégorie B pour donner aux AESH un peu de souffle .
Et vous tous, sur ces bancs, vous êtes en train de faire semblant, vous mettez un pansement sur une jambe de bois. Ce n'est pas la bonne chose à faire ! On vous demande tout simplement de créer un corps de fonctionnaires de catégorie B.
Ça rame ? Chez vous sûrement ! Mais je ne vous demande pas votre avis, c'est moi qui suis en train de parler ! Ces enfants-là, ils voient des personnes passer : un jour, c'est une AESH, le lendemain c'en est une autre, et pendant ce temps, leurs souffrances ne font que s'aggraver !
C'est la vérité. Quand l'enfant est accompagné par des AESH, si c'est plutôt l'État qui prend en charge le salaire et qui s'occupe réellement de son temps de travail scolaire…
Tout le monde m'appelle « le chauffeur de Mélenchon », mais j'ai aussi été le taxi d'enfants handicapés que j'emmenais tous les matins à l'école – j'ai donc eu affaire aux AESH. Vous êtes des technocrates, vous racontez plein de choses, mais je vais vous en expliquer une seule, et très importante, car il y a la valeur.
Exactement !
Ce vote, c'est l'hypocrisie dans toute sa splendeur !
Bravo, madame la présidente !
Vos sièges sont vides !
Il est contre l'amendement, madame la présidente !
Dans l'Hexagone ! Dites-le !
Ah, c'est le social, qui vous dérange !
C'est vous qui parlez de démocratie ?
Oui, respectez le Parlement !
Ou il n'a pas lu le bon amendement !
Expliquez-nous !
J'aimerais que pour une fois, nous soyons réalistes et honnêtes. Votre vision de l'assurance chômage s'appuie exclusivement sur des mensonges. Les chiffres de la Dares nous apprennent que la France compte 350 000 emplois vacants et 2,3 millions de chômeurs. Le Gouvernement prétend qu'ils pourraient trouver du travail s'ils le voulaient vraiment. Vous mentez. Certes, pour vos anciens ministres et vos anciens députés, il suffit d'un appel téléphonique pour les recycler dans des sociétés de conseil que votre gouvernement inonde d'argent public. Pour les citoyens et citoyennes, la situation est différente. Vous avez indiqué que vous souhaitiez que le travail soit ...
Vous avez rayé les chômeurs des listes !
Une honte !
On a les oreilles qui saignent !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Nous sommes d'accord, chère collègue !
Dans le 16e arrondissement de Marseille, voyant de la poussière noirâtre se déposer sur le rebord de leurs fenêtres, les habitants ont installé un réseau de plusieurs capteurs citoyens pour mesurer la pollution de l'air, avec l'aide des comités d'intérêt de quartier (CIQ), de collectifs et d'associations comme France nature environnement et Cap au Nord. Les résultats sont clairs : presque tous les jours, les seuils de particules fines et de dioxyde d'azote recommandés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sont dépassés. Cette pollution expose les habitants de nos quartiers à des pathologies graves, qui vont de l'asthme à différents cancers, en ...
Il vient d'affirmer que je suis fou ! Vous ne lui dites rien, madame la présidente ?
On s'en fout de votre avis !